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Le Scrutateur.

Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.

Sauvagerie en France, dans l'indifférence de la macronie.

Pendant une demi-heure, une centaine de jeunes ont affronté une trentaine de policiers qui ont fait usage de LBD et de grenades lacrymogènes pour ramener le calme. Les policiers ont eux essuyé des tirs de mortiers et des jets de pierre en retour

Pendant une demi-heure, une centaine de jeunes ont affronté une trentaine de policiers qui ont fait usage de LBD et de grenades lacrymogènes pour ramener le calme. Les policiers ont eux essuyé des tirs de mortiers et des jets de pierre en retour

https://www.ouest-france.fr/societe/faits-divers/incendie-tirs-de-mortier-cocktails-molotov-une-centaine-de-jeunes-tendent-un-guet-apens-aux-6582236

 

S’imaginer que François Mitterrand (surnommé le-Fécal par certains) n’ait pas voulu les conséquences de son action politique serait aussi bête que réfuter ses capacités intellectuelles ou douter qu’il soit aujourd’hui en Enfer. Sans compter que la question se pose pour tous ses petits camarades et électeurs : simples imbéciles ou agents sciemment actifs ? Profiteurs de cœur ou de fait, en tous cas, dans cette optique de court terme qui caractérise de plus en plus un monde qui risque de plus en plus d’être celui de la dernière pluie.

 

La frontière entre les niais et les méchants a toujours été assez difficile à tracer avec certitude. Les seuls éléments dont on dispose, ce sont les fruits, les arbres, et ses propres yeux. Pour pleurer, certes, mais pour voir aussi, accessoirement.

 

Enfin, on ne peut pas dire que les Français n’ont pas été prévenus : en 1981, la force tranquille (sinistre farce) était effectivement en marche. Dans le sillage de la force imbécile (et enragée, d’autres diront tout simplement matérialiste) de... mai 1968. Le film, lui, allait commencer en 1974, lorsque sur la scène française, sur une musique d’Ennio Morricone trois personnages allaient s’avancer : Giscard, Chirac et Mitterrand. Le seul que l’on puisse créditer d’avoir joué le rôle du gentil, dans cette affaire, c’est Giscard qui, malgré les qualités intellectuelles qu’on lui prête (et qui sont les siennes), s’est conduit comme un parfait imbécile à bien des égards. Certains petits travers humains, trop humains en effet, conduisent à des erreurs stratégiques aussi fatales que les erreurs tactiques qui les accompagnent. Sa responsabilité est flagrante, mais au moins - à l’inverse de ses deux « compères » - peut-on créditer Giscard d’avoir voulu bien faire. Personne n'est parfait.

 

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