Le courage d’aller à l’encontre du politiquement correct, c'est-à-dire de la maladie de la rage

Le plus souvent c'est Zemmour le méchant. Si on laisse faire, si on laisse dire, bientôt Zemmour sera officiellement déclaré coach de Mickaël Harpon.

Même celle qui restera à jamais la première bonniche de France est partie à son tour à l’assaut en informant Laurence Ferrari de la fatwa qu’elle lançait à l’encontre de Cnews pour punir cette antenne d’héberger Éric Zemmour. C’est dire s’il y a urgence ! Car quand un pays en est à vouloir mordre le doigt qui montre le bobo, c’est que le cerveau est déjà métastasé - ou que la taqiya est partout : jusque chez Mohamed Sifaoui qui, malgré la qualité de certaines de ses démonstrations par ailleurs, nie la réalité du remplacement... en marche.

Pour ce qui est de Valérie Trierweiler et du grand remplacement - certes ceci est accessoire, mais la mémoire à des trous qu’il faut boucher - François Hollande a montré l’exemple, en scooter. C’est d’ailleurs la seule fois fois qu’il a su rassembler tous les Français ! Derrière l’énorme éclat de rire, il y avait aussi un « bon débarras ! » unanime. Curieusement, peu après le même Hollande n’a pas hésité à évoquer auprès de L’homme et Davet le problème menaçant d’une « partition ». Comme quoi, dans la tête des énarques, il y a déjà de fâcheuses partitions, notamment quand il s’agit de la séparation entre réalité et discours, ou si l’on préfère, entre l’état des lieux et l’État.

Heureusement, le Sénat n’est pas encore gangrené par le grand remplacement qui a eu lieu au Palais Bourbon en... 2017. La parole y est encore, quelquefois, en sécurité. Et certains ont le courage d’exposer la vérité à la barbe et à la rage du politiquement correct.

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