10 Août 2019
Nou finn bat, (nous sommes morts) si ces tontons macoutes du système séparatistes ne sont pas jugulés par la loi.
Le Scrutateur reviendra plus tard sur cet événement rarissime, - la résistance de magistrats à l'intimidation de « syndicats » ultra politisés, - se moquant de l'institution judiciaire, et régnant, pas seulement dans le secteur hospitalier, par tous les moyens notamment par l'intimidation des personnels d'entreprises, et pas seulement dans le secteur hospitalier.
Pour l'instant, les leaders « syndicalistes » ont laissé leurs avocats (indépendantistes) commenter l'évènement. C'est rarissime. Peut-on y voir un début de sagesse ? J'en doute fortement s'agissant des sieurs Clavier, Domota, et consorts. (Le Scrutateur).
Le juge des référés à ordonné à l'intersyndicale UTS-UGTG/CGTG CHU de cesser immédiatement le blocage du centre hospitalier et de libérer les accès, tant routiers que piétons.
Suite à l'assignation en référé contre l'UTS-UGTG/CGTG CHU , le juge des référés a donné raison à la direction du CHU et ordonné à l'intersyndicale « ainsi que tout occupant de leur chef de cesser immédiatement le blocage et de rétablir l'accès tant routier que piéton du CHU et de ses annexes et de libérer les lieux qu'ils occupent. Cette obligation est assortie d'une astreinte de 1 000 euros par jour de retard à compter de la signification de la décision ». Il ajoute qu'« à défaut d'exécution volontaire les syndicats UTS-UGTG et le syndicat CGTG, ainsi que tout occupant de leur chef seront expulsés par la force publique ».
Le tribunal précise que « la présente ordonnance continuera à être exécutoire durant toute la durée du conflit sur simple présentation d'un constat d'huissier ou établissant à nouveau que les lieux sont occupés et les accès en question interdits »
Le juge revient sur le constat du 24 juillet qui établit « que les accès au CHU sont entravés par des barrières métalliques fermées, que devant ces barrières des grévistes ainsi que des individus procèdent à un barrage filtrant en ne laissant passer que des véhicules prioritaires – qu'il mentionne également avoir lui-même constaté –, que coté hôpital Ricou, le portillon permettant l'accès à pied des consultations obstétriques ainsi que les consultations anti-douleur est bloqué par deux cadenas, que le portail d'accès des voitures à l'hôpital Ricou est entravé par une chaîne cadenassée ».
« Un trouble manifestement illicite »
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