Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le Scrutateur.

Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.

Le sida qui se moque de la vérole !

Le sida qui se moque de la vérole !
Le sida qui se moque de la vérole !
Le sida qui se moque de la vérole !
Ce Goebbels - contrarié - du Paf n'a jamais entendu parler de Catherine Barma ni de Ruquier Laurent. Ni des émissions "montées" - comme la police canadienne à cheval,  très à cheval aussi sur les bonnes manières quand sa mission est de remettre dans le droit chemin les fauteurs de troubles. 
 
Et nous ne sommes même pas le 1er Avril.
 
Donc c'est pas lui, c'est les autres. Tous les autres. Hilarant ! Mais quelle mâle gaieté nous habite, si triste et si profonde, qu'au lieu d'en pleurer, un irrésistible rire nous secoue tout entier quand on entend pleurnicher ce gros bébé, héros du paf et nouveau Caliméro avec sa coquille d'œuf sur la tête. Car, comme nous l'avons lu dans les Fables de La Fontaine, c'est bien le loup qui dit : foin du loup et de sa race ! (Le Scrutateur)
 
Laurent Ruquier au JDD: «Nous vivons sous la dictature de Twitter et de Marlène Schiappa»
 
 

Le présentateur d’On n’est pas couché tient le réseau social et la secrétaire d’État pour responsables du développement de la «pensée unique» dans un entretien au Journal du Dimanche. Et tacle, au passage, plusieurs de ses anciens chroniqueurs.

«Twitter a rendu folle une profession à la dérive, qui se tire une balle dans le pied.» Le constat est alarmiste. ll est signé Laurent Ruquier. Dans les pages du Journal du Dimanche , l’animateur d’On n’est pas couché n’est pas tendre envers le réseau social, responsable, selon lui, d’une «crise» des émissions dites «d’humeur» et de leur baisse d’audiences.
«Nous vivons sous la dictature de Twitter et de Marlène Schiappa», déclare-t-il, précisant que le réseau social favoriserait un climat propice à «la bien-pensance» et au développement de la «pensée unique». Pour illustrer son propos, Laurent Ruquier évoque la polémique sur l’esclavage déclenchée par Christine Angot ou sur la mise à pied de Daniel Riolo et Jérôme Rothen de RMC après avoir évoqué les frasques de Neymar. «Quelques dizaines de signalements au CSA suffisent aujourd’hui à ce qu’une émission soit sanctionnée», regrette le natif du Havre.

Zemmour et Naulleau dans le viseur

«On ne peut plus rien dire sur quoi que ce soit»
Laurent Ruquier au JDD
Au passage, il en profite pour tacler des «gens de ce métier aujourd’hui sur le carreau» qui «utilisent les réseaux sociaux dans le seul but d’exister». «Aujourd’hui, c’est l’aigreur et la rancœur de ceux qui ne sont plus à l’antenne qui fait des ravages», lâche-t-il visant Bruno Masure, Roger Zabel... Et plusieurs de ses anciens protégés. «On a vu des ex-chroniqueurs d’ONPC, tels qu’Audrey Pulvar et Aymeric Caron, stigmatiser Christine Angot pour sa maladresse, quand personne ne peut pourtant la soupçonner de négationnisme ou de racisme», regrette-t-il.
L’ancien duo Zemmour-Naulleau, qui a fait les beaux jours d’ONPC, est également dans le viseur du présentateur: «Qui vient aujourd’hui accuser Angot de racisme? Éric Naulleau. Lequel travaille toujours avec Éric Zemmour. On est vraiment chez les fous, déplore-t-il. Ni l’un ni l’autre ne se sont autocensurés à l’époque, quand Christine Angot et Charles Consigny ont souvent été obligés de mettre le pied sur le frein par peur du ramdam que risquait de provoquer le moindre écart de leur part».
«Ce qui était accepté à l’époque de Zemmour, Naulleau ou Polac ne l’est plus aujourd’hui, explique Laurent Ruquier, justifiant la nouvelle formule de son émission à la rentrée, dans laquelle se succéderont des chroniqueurs différents toutes les semaines. Nous avons tout simplement changé d’époque. On ne peut plus rien dire sur quoi que ce soit».
 
Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article