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Le Scrutateur.

Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.

Important : Une messe sera célébrée à Notre-Dame à la mi-juin, la première depuis l’incendie

Important : Une messe sera célébrée à Notre-Dame à la mi-juin, la première depuis l’incendie

La bataille pour la « guérison » (ou si l'on souhaite employer le mot plus neutre et plus fade de réparation) de Notre-Dame blessée, est pour la France, et le monde, l'une des plus importantes des années qui viennent. (LS).

 

Évoquée depuis plusieurs semaines, la première messe célébrée dans Notre-Dame de Paris depuis l'incendie devrait finalement être célébrée à l’occasion de la Fête de la dédicace de l’autel de la cathédrale, le week-end du 15 et 16 juin. Elle pourrait être précédée par l’office des vêpres célébrées sur le parvis où un petit sanctuaire marial doit prochainement être installé.

La demande avait été formulée par le diocèse de Paris auprès du général Georgelin, désigné par le gouvernement pour piloter la reconstruction de la cathédrale, il y a près d’un mois. C’est aujourd’hui officiel : la première messe dans Notre-Dame sera célébrée à l’occasion de la Fête de la dédicace de l’autel de la cathédrale, le week-end du 15 et 16 juin, a confié Mgr Patrick Chauvet, recteur de la cathédrale de Paris, à Famille chrétienne.

Lire aussi :

« Si Notre-Dame est le fruit du travail des hommes, cela a toujours été pour la gloire de Dieu »

Si cette messe constitue un événement symbolique fort, la création dans les prochains jours d’un sanctuaire dédié à la Vierge Marie sur le parvis de la cathédrale l’est tout autant. Ce dernier devrait occuper la moitié du parvis. L’objectif est bien « que l’on puisse habiter le parvis et que les gens se rendent compte que Marie est là et qu’elle sort pour accueillir les gens », a récemment confié Mgr Chauvet à Aleteia. Il n’hésite d’ailleurs pas à clamer : « Il ne faut pas oublier que l’affectataire demeure l’affectataire. La cathédrale reste la cathédrale ».

 

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