15 Avril 2019
Le fait du jour n'est pas un incendie de monument. C'est une catastrophe nationale et même mondiale.
Je suivais sur LCI le débat qui préparait le discours annoncé du Président de la République, quand la nouvelle est tombée par la bouche de l'animateur, Pujadas, d'abord discrète, presque furtive « il y a le feu à Notre Dame », puis répétée accompagnée des premières images qui devaient se succéder en s'aggravant.
Ce qui me frappait était la difficulté des journalistes (parmi lesquels du « beau linge ») à trouver le vocabulaire adéquat à la nature de la tragédie qui était en train de se nouer : « notre Dame, la borme kilométrique du pays ; le monument le plus connu des touristes, avant la Tour Eiffel, par les pays du monde entier, etc, etc.
Il était manifeste que pour ces animateurs de nos chaînes d' « information », la signification nationale française, sa profondeur culturelle, religieuse, catholique, philosophique, métaphysique du monument plus que millénaire n'apparaissait pas.
En contemplant, brisé, la consomption de Notre Dame, on ne pouvait échapper au fantasme intérieur, -tentative à repousser - de notre subversion spirituelle par le diable – au fantasme disais-je de l'autodafé de la France d'aujourd'hui rongée de l'intérieur par le doute sur soi, l'abandon de sa Tradition, et l'apostasie.
Nous reviendrons nécessairement sur ce symbole dans les jours qui viennent.
Ce soir je publie seulement trois fragments musicaux symboliques de ND, et quelques images de l'incendie. (Le Scrutateur)
De profundis parisien (Psaume).
https://www.youtube.com/watch?v=ZoYxYfMto_0
(II) La sonnerie du DEUIL, ou de l'espérance :
https://www.youtube.com/watch?v=4uNheq2wBbE
(III) Vue de l'incendie :
https://www.youtube.com/watch?v=bKL7itkhEBo
Le fait du jour n'est pas un incendie de monument. C'est une catastrophe nationale et même mondiale.
Je suivais sur LCI le débat qui préparait le discours annoncé du Président de la République, quand la nouvelle est tombée par la bouche de l'animateur, Pujadas, d'abord discrète, presque furtive « il y a le feu à Notre Dame », puis répétée accompagnée des premières images qui devaient se succéder en s'aggravant.
Ce qui me frappait était la difficulté des journalistes (parmi lesquels du « beau linge ») à trouver le vocabulaire adéquat à la nature de la tragédie qui était en train de se nouer : « notre Dame, la borme kilométrique du pays ; le monument le plus connu des touristes, avant la Tour Eiffel, par les pays du monde entier, etc, etc.
Il était manifeste que pour ces animateurs de nos chaînes d' « information », la signification nationale française, sa profondeur culturelle, religieuse, catholique, philosophique, métaphysique du monument plus que millénaire n'apparaissait pas.
En contemplant, brisé, la consomption de Notre Dame, on ne pouvait échapper au fantasme intérieur, -tentative à repousser - de notre subversion spirituelle par le diable – au fantasme disais-je de l'autodafé de la France d'aujourd'hui rongée de l'intérieur par le doute sur soi, l'abandon de sa Tradition, et l'apostasie.
Nous reviendrons nécessairement sur ce symbole dans les jours qui viennent.
Ce soir je publie seulement trois fragments musicaux symboliques de ND, et quelques images de l'incendie. (Le Scrutateur)
De profundis parisien (Psaume).
https://www.youtube.com/watch?v=ZoYxYfMto_0
(II) La sonnerie du DEUIL, ou de l'espérance :
https://www.youtube.com/watch?v=4uNheq2wBbE
(III) Vue de l'incendie :
https://www.youtube.com/watch?v=bKL7itkhEBo
La cathédrale Notre-Dame de Paris ravagée par un énorme incendie, la toiture s'écroule