14 Février 2019
La traite des noirs existe toujours, et parait-il personne ne se plaint, ni ne s'attaque aux praticiens actuels de la chose. Pourtant, ne s'agit-il pas d'un crime contre l'Humanité ? Une certaine loi, en France a été votée, certes, sous le matronage de Christiane Taubira. Mais la dame si sensible sur ces questions là répond quand on l'interroge que la loi sur l'esclavage « crime contre l'humanité » ne vaut que pour une période historique qui s'étend du 14ème, au début du 19ème siècle. Ce qui fait que seuls des pays européens, ou issus de l'Europe sont concernés par l'infamie et pressés de procéder à des « réparations ». Mais la faute à qui, Christianita ? Hein, et de qui ? Qui a déterminé les dates d'application de cette « loi » ?
Et si l'on pressait madame Taubira de reconnaître ses erreurs passées, de reconnaître que ce qui a été fait il y a des siècles ne peut être défait, et que les déclamations actuelles de beaucoup sur ce thème ne sont que des faire-valoir pour des opportunistes, et des snobs (de sine nobilitate : c'est à dire sans noblesse, con man Taubira ki ka fè dièze) qui se font de la publicité, et aussi on lo l'ajan, sur la traite passée des noirs d'avant (par des européens) et d'aujourd'hui ( par des Africains, et des Asiatiques).
Gageons que les hommes (et femmes) d'honneur ont honte de ces méthodes de négriers pour se faire valoir, et faire valoir leurs porte-feuilles d'action sur … la chose. (Le Scrutateur)