12 Janvier 2019
Je reçois aujourd'hui par email de connexion, et l'intermédiaire d'Overblog' un message d'un anonyme qui signe ... BOB ! Vous le lirez ci-dessous. Le « style » de cette apostrophe boutonneuse, donne à penser que son auteur est jeune ado, de ces gamins en pleine crise d'identification qui ne peuvent s'empêcher de se dresser contre leur papa, - ou leur « bon papa » - pour exalter leurs mois incertains d'eux-mêmes, en quête de résistance pour s'extirper de leurs brumes face à un môle consistant. Et s'il ne s'agit pas d'un ado, alors cet « adulte » est, et c'est plus grave, un demeuré fixé au stade sadique-anal de l'évolution psychique selon le bon père Sigmund Freüd.
BOB déclare que le site du Scrutateur est raciste. Il EXIGE que nous « virions » les articles qu'il évite soigneusement de désigner, sous peine de poursuites (non mais!).
Ecoute, BOB, arrête ton film, va te coucher, et chigner dans ta chambre !
Le Scrutateur.
PS : Je vais te faire un cadeau pour te consoler. Ci-dessous trouver un article sur des racistes que tu ne connais peut-être pas. Lis ! Tu verras qu'il y a faire pour soulager ta libido antiraciste, plus utilement qu'embêter ton papa de substitution.
Le message de BOB :
« Très très inintéressant votre site nous l'analysons pour pouvoir vous poursuivre par la suite. Nous vous prévenons parce que civilisé et que l'erreur est humaine. Virer les articles que vous savez particulièrement raciste ou infamant de vous même sinon la loi vous le demandera et en plus avec des réparations pour préjudices
La paix n'existe pas seul la dominations du plus fort créer ce sentiment !!! » BOB. _____________________________
Communiqué de l’AGRIF :
Le procès du rappeur Nick Conrad a eu lieu ce 9 janvier 2019 à la suite de la diffusion de son clip abominable dans lequel il appelle à prendre les blancs et à tuer les enfants dans les couveuses.
A l’audience, Nick CONRAD a prétendu vouloir dénoncer le racisme … anti-noir dans une inversion de ce que les noirs avaient vécu : esclavage, lynchage et ségrégation !
Nos avocats, Jérôme Triomphe et David Dassa-Le Deist ont démonté cette défense. Ils ont souligné qu’il ne s’agissait pas d’une dénonciation de l’esclavagisme, mais d’un texte d’un racisme inouï appelant aux pires abominations que pourraient perpétrer aujourd’hui contre les blancs des noirs, pourtant accueillis en Europe sans aucun procédé esclavagiste. Ils ont cité notamment plusieurs textes de même tabac de Nick Conrad, sous prétexte d’une vengeance soi-disant légitime, des noirs contre les blancs. Ils ont souligné, et ils ont été les seuls à le faire évidemment, que Nick CONRAD était le produit d’une incessante campagne de victimisation des noirs et de culpabilisation de l’Occident.
Nick CONRAD s’est bien gardé de rappeler que les noirs n’ont pas été d’abord victimes de la traite par les blancs mais principalement de la traite arabo-musulmane et de roitelets africains vendant leurs frères de sang comme esclaves. Ils ont souligné que Nick CONRAD était l’héritier du suprémaciste noir et raciste anti-blanc Malcom X qu’il cite dans son clip, admirateur du sanguinaire Che Guevara. Ils ont souligné que Nick CONRAD était le fils idéologique d’Houria BOUTELDJA et de Saïd BOUAMAMA et de tous ceux qui opposent les « noirs, arabes et musulmans aux blancs » dans la lignée des auteurs de Nique la France que l’AGRIF a été la seule à combattre.
Pour la première fois de son histoire, la LICRA plaidait aux côtés de l’AGRIF. Il est vrai que, depuis quelques années, la LICRA a reconnu l’existence d’un racisme anti-blanc. La LICRA a pourtant prétendu avoir été la première à le combattre ! En revanche, nos avocats ont souligné l’absence criante de toutes les autres associations prétendument antiracistes et qui ne pratiquent en réalité qu’un antiracisme à sens unique. C’est l’avocat de la LICRA qui a expliqué que ces autres associations avaient décidé de ne pas venir…pour ne pas faire de publicité à Nick CONRAD. Voilà un beau prétexte alors que la publicité a été nationale et la condamnation pour une fois unanime.
Puis le Procureur s’est levé. Alors qu’il a cité deux fois la LICRA, il n’a pas eu un mot pour l’AGRIF, pas même de remerciement, alors que ce sont ses avocats qui ont permis de sauver ses poursuites : ce sont eux qui ont constaté que le procureur avait poursuivi pour une audience à laquelle la prescription aurait été acquise s’ils n’avaient pas fait délivrer une citation interrompant la prescription.
Sur le fond, le procureur a commencé par souligner que la peine demandée tiendrait compte du fait que Nick CONRAD et ses parents (qui disent avoir fait l’objet de menaces de mort à la suite de la provocation au meurtre des blancs par leur fils…) avaient… déjà payé. De fait, il a requis 5.000 € d’amende avec sursis, ce qui équivaut pratiquement à une absolution… à condition de ne pas recommencer !
S’il a stigmatisé la violence des propos, il a trouvé bien des excuses à Nick CONRAD allant même jusqu’à dire que « pendez les blancs était manifestement l’expression d’une vraie souffrance » chez Nick CONRAD !
Surtout, le procureur a dit que ce clip constituait une atteinte à la dignité humaine et une demande d’élimination de toute une population (pendez-les « tous ») mais on se demande bien de laquelle puisque, pas à un seul moment, il ne prononcera le mot de racisme anti-blanc.
Si finalement il a demandé la condamnation, c’est parce que sa dénonciation du racisme anti-noir ne pouvait pas être comprise, faute de distanciation dans son clip. Il n’a pas dit un mot sur les autres textes de haine anti-blancs du rappeur, pourtant rappelés par nos avocats.
Sans surprise, les avocats de Nick CONRAD ont demandé sa relaxe, en prétendant que la race des blancs n’existait pas (après avoir fait remarquer que Nick CONRAD était le seul noir de l’assemblée !) et en invoquant le caractère artistique de son œuvre…
La décision sera rendue le 19 mars.