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Le Scrutateur.

Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.

Sortir de la crise : Profonde méditation dans le prolongement d'une leçon de Jean de La Fontaine , par un salaud de riche ordinaire

Sortir de la crise : Profonde méditation dans le prolongement d'une leçon de Jean de La Fontaine , par un salaud de riche ordinaire
Sortir de la crise : Profonde méditation dans le prolongement d'une leçon de Jean de La Fontaine , par un salaud de riche ordinaire
Sortir de la crise : Profonde méditation dans le prolongement d'une leçon de Jean de La Fontaine , par un salaud de riche ordinaire

Merci à cet ami fidèle, (qui n'est pas riche!) pour l'envoi de cet article si riche en … réflexions, qui pourrait changer bien des choses en France, s'il était lu et relu, et compris.

Malgré l'image les Gilets jaunes ne sont pas les seuls concernés.

 

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(http://successtitude.com/petit-salaud-de-riche-ordinaire/ )

 

La France va mal. Comment ce pays que j’aime tant a glissé progressivement de « liberté-égalité-fraternité » vers « facilité-fiscalité-déprimé ».

Le pouvoir d’achat des français n’a cessé de dégringoler depuis tant d’années qu’ils sont aujourd’hui prêts à tout péter. Le mouvement des gilets jaunes a mis en lumière au grand jour un mal-être latent depuis de nombreuses années.

Je constate avec amertume que ce mouvement ayant trouvé ses racines dans un ras le bol fiscal accouche d’un non-sens: Celui de vouloir au final augmenter la fiscalité !
Mais la morale est sauve puisqu’il s’agit d’augmenter la fiscalité sur les autres : 
« ces petits salauds de riches ordinaires ».

À la fin de ce billet, je vous expliquerai ce qu’est un petit salaud de riche ordinaire et comment j’ai pu moi-même en arriver là! Mon dieu! Moi qui étais un gentil fils de paysan, élevé à la campagne avec un train de vie modeste, où l’on m’a appris la valeur du travail. Où l’on m’a appris à compter pour boucler les fins de mois sans rien attendre des aides sociales.

Mais avant, laissez-moi vous poser mon diagnostic du problème qui nous a conduit à cette impasse aujourd’hui.

Mes chers compatriotes, ne vous trompez pas dans le diagnostic de la dégringolade du pouvoir d’achat de la grande majorité d’entre vous. La problématique n’est pas un manque de redistribution des richesses, notre pays est maintenant champion du monde en la matière. Même les scandinaves vont bientôt croire que les gaulois sont devenus fous en matière fiscale!

Non, l’origine du problème, c’est d’une part un manque de créations de richesses et d’autre part un problème d’efficacité de notre système de redistribution de richesses. Car vous en conviendrez aisément, ce n’est pas faute d’un trop faible niveau d’imposition, de taxes et de prélèvements en tout genre. Aucun pays ne prélève autant de taxes que la France. C’est plutôt la faute d’un mauvais usage qui est fait de votre argent. Votre argent que le système étatique (ou plutôt énatique!) prétend mieux gérer que vous, à votre place. Oui, pendant longtemps nos énarques et aristocrates d’état se sont gavés sur le dos des créateurs de richesses de ce pays en utilisant l’ignorance économique de la grande masse de leurs concitoyens.

Et ce n’est pas condescendant de ma part de parler de l’ignorance économique de la grande majorité des Français. C’est malheureusement un fait avéré, selon l’OCDE, nous avons le bonnet d’âne en matière de connaissances économiques. Rien ne vous empêche de vous former sur le sujet, de vous forger votre propre opinion objective sans prendre les solutions « prémâchées » que les extrêmes vous servent aujourd’hui.

Ces énarques ont mis cette grande masse « ignorante » sous perfusion d’analgésiques de type « transferts sociaux » pour masquer le désastre économique que l’état, qu’ils ont fait devenir « obèse », avait créé. Et aussi et surtout pour avoir la paix, et vivre au-dessus de nos moyens.

Maintenant qu’il n’y a plus d’antidouleur à mettre dans la perfusion, la grande masse se réveille et la douleur est vive. L’état sangsue n’a plus rien à sucer et le train de vie dispendieux et inefficace de notre système, dont la grande masse se foutait tant qu’elle était sous perfusion, va bientôt apparaître au grand jour.

La grande masse endolorie, aveuglée par la rage, va comme à l’habitude demander plus de transferts sociaux. Demander de taxer encore plus les entrepreneurs créateurs de richesses pour pouvoir se rendormir tranquillement sans rien changer au système. Une aberration quand on connait la motivation initiale des Gilets Jaunes, mais je le sens gros comme une montagne tellement ce pays n’est plus à une incohérence près.

A nous entrepreneurs, d’ouvrir les yeux de nos compatriotes sur la véritable origine du problème.

La véritable origine du problème est la gabegie financière monstrueuse de notre système et pas un problème de salauds de riches qui payent trop peu d’impôts. Il y a tellement de clichés et de contradictions dans notre société schizophrène vis-à-vis de l’argent que la marche va être longue. Elle va nécessiter beaucoup d’énergie pour rétablir un peu d’objectivité chez nos concitoyens.

Comment expliquer qu’un français lambda puisse être choqué que le patron de la PME dans laquelle il travaille, celui qui s’est engagé à prendre le risque à sa place et à lui verser un salaire fixe tous les mois, quelque soit les aléas des ventes. Comment expliquer que ce français lambda puisse être dérangé que ce patron, qui prend le risque pour lui, puisse gagner 10 fois son salaire quand ça marche? Alors que dans le même temps, il trouve tout à fait normal qu’un joueur de foot qui ne lui apporte rien, à part de pouvoir bouffer des chips et boire une bière devant la télé de temps en temps, puisse gagner 1000 fois ce qu’il gagne. (Je précise que je n’ai rien contre le foot, les chips et la bière, c’est un simple constat).

Cette chimère de l’État super sécurisant, super protecteur, au-delà de vous coûter un bras, vous a coupé vos ailes, mes amis. À force de préférer regarder Netflix plutôt que Ted, vous avez laissé s’installer une caste qui a pu grassement vivre sur votre dos. Mais ne leur jetez pas la pierre trop vite, ils n’ont fait qu’exploiter vos failles et vos faiblesses pour vous asservir.
La solution n’est pas de changer un politicien par un autre, de changer une caste par une autre. Non, la solution est que chacun change individuellement. Chacun doit se prendre un minimum en charge, s’éduquer, se former pour au final pouvoir faire des propositions au lieu de relayer des Fake-news sur Facebook en guise de point de vue.

Nous avons les politiciens que nous méritons. Donc ayons plus de mérite et élevons nous ensemble.

Le véritable problème, c’est… les « Ors » de la république. Ce cadre luxueux et ce monde à part dans lequel vivent une partie de nos politiciens est le cœur du problème. Avec l’arrivée d’Emmanuel Macron au pouvoir, nous avions cru changer les choses en mettant à la porte les politiciens de carrière et en les remplaçant par des gens de la société civile. Cela ne changera rien, j’ai constaté avec amertume que certaines de mes connaissances, qui sont devenus politiciens dans le vent de renouveau de « en marche », pensant changer les choses, se sont très vite mis à changer eux-mêmes au lieu de changer le système. Je ne leur jette pas la pierre, j’ai simplement constaté, par de nombreux selfies qu’ils n’en revenaient visiblement pas de côtoyer les « Ors » de la république, qu’ils étaient eux-mêmes en train de changer. Qu’ils basculaient progressivement dans le moule des politiciens de carrière qu’ils avaient virés.

Quand je parle de système dispendieux, je ne parle pas uniquement des rétributions que perçoivent nos politiciens. Non. Je parle du système global, avec les nombreux doublons, la quantité effarante de strates de pseudo décideurs du millefeuille administratif des collectivités territoriales notamment. Je parle également de prendre en compte tout le coût logistique qui est mis autour de tous ces politiques, modes de transport, locaux et mobilier national qui coûte un bras, serveurs, coiffeurs nous n’avons plus les moyens de ce faste et depuis longtemps.

Dans le milieu des entrepreneurs que je côtoie, quand je pointais du doigt ce système dispendieux dans lequel vivent nos politiques, on me répondait souvent que c’était une goutte d’eau dans la mer. Que ce n’était pas les gains que nous pouvions trouver là qui allait régler le problème. Bien évidemment que non, ils ne suffiront pas à régler le problème. En revanche vous ne pouvez pas demander à la majorité des Français qui ne s’en sortent pas, de faire des efforts pendant qu’une caste politique vit grassement sur leurs impôts. En ces périodes de disette, c’est totalement inacceptable et c’est ça qui a déclenché majoritairement le mouvement des gilets jaunes que je comprends pour cet aspect.

Mes amis « salauds de riches ordinaires », qui êtes pour la plupart des entrepreneurs, vous savez très bien que le jour où votre société ne va pas bien financièrement et que vous faites des pertes, que vous êtes obligés de restreindre les augmentations de salaires, vous ne vous amusez pas à changer la moquette des couloirs de l’entreprise. C’est pourtant le lot quotidien de notre caste politique depuis plus de 30 ans que nous faisons du déficit public. La moquette des couloirs est régulièrement changée alors que nous nous endettons à coups de milliards pour notre plus grande perte dans le même temps. Si c’est ça le, en même temps, d’Emmanuel Macron, rien n’a vraiment changé.

C’est aussi à nous « salauds de riches ordinaires », de défendre nos valeurs entrepreneuriales, nos points de vue. C’est à nous de ne pas laisser une fois de plus cette caste politique toujours avides de moyens financiers supplémentaires, retourner contre nous l’opinion de ceux qui se sont soulevés contre eux à la base. À nous de faire en sorte que ce énième tour de passe-passe politique ne soit pas possible. Car au-delà de repousser encore le taux inacceptable des impôts que nous payons, nous laisserons la société française imploser d’elle-même. Nous en sommes très proches, nous devons réagir vite. Et ce n’est plus en parlant à nos politiques, en essayant de leur faire retrouver la raison que nous devons le faire. Non, c’est en parlant directement aux Français, ces Français que vous pensiez incapables d’entendre la vérité par manque de connaissance économique. Je ne sais pas s’ils sont encore réellement prêts à entendre la vérité, mais en tout cas ils le sont bien plus qu’hier et de toute façon nous n’avons plus le temps d’attendre. Maintenant ça passe ou ça casse.

Désolé pour la longueur de mon diagnostic.

Maintenant vous disais-je au début, je vais vous expliquer comment je suis devenu un « petit salaud de riche ordinaire ».
À la base il y a un enfant rêveur, un enfant qui croit que tout est possible, qui lui suffira de se retrousser les manches et qu’il pourra faire devenir ses rêves réalité. Un enfant qui a connu les fins de mois difficiles et qui n’a pas voulu accepter cette situation comme étant inéluctable, comme ne pouvant pas changer, comme étant un fait extérieur qui ne dépendait pas de lui. Il a très vite compris que tout dépendait de lui et qu’il ne devait rien attendre des autres. Est-ce de l’égoïsme? Non, c’est de la lucidité. Le véritable égoïsme c’est de tout attendre des autres et de ne pas prendre de risques soi-même.

Parce que le fond de la problématique est bien là. Le fond de la problématique est la prise de risques. Quand on fait comme on a toujours fait c’est bien plus facile. Mais dans la vie il n’y a que deux types de choix fondamentaux. Il y a des choix fuyants ou des choix conquérants.
C’est bien plus facile de rester dans sa zone de confort, de reporter la faute sur les autres, de se plaindre, de gémir. Je ne dis pas ça pour les gilets jaunes, mais c’est le choix que l’on fait quand on fait un choix fuyant. En revanche, c’est bien plus difficile de se regarder dans la glace et de se dire quelle est ma part de responsabilité dans l’affaire, qu’est-ce que je peux changer pour modifier mon futur. Quels sont les efforts que je dois fournir et les efforts intelligents pour que les choses s’améliorent pour moi et mes proches.

Alors oui, un de mes premiers objectifs dans la vie a été de pouvoir un jour créer mon entreprise. Parce que pour moi c’était le seul moyen qui me permettrait d’être rémunéré à la hauteur de mes talents. De pouvoir avoir des moyens financiers qui soient proportionnels à la qualité de la valeur que je créerai. Oui, mon premier objectif était d’améliorer mon quotidien à moi et à mes proches. Est-ce que cela fait de moi quelqu’un d’avide, quelqu’un de mauvais? Non. J’estime que charité bien ordonnée commence par soi-même. La première aide que vous pouvez fournir à vos concitoyens est déjà de ne pas dépendre de leur travail pour votre train de vie. De ne pas être une charge ou un boulet pour la société mais au contraire d’être un moteur, d’être un acteur.

J’ai créé 4 sociétés durant les 20 dernières années. J’en ai planté 2. Donc la prise de risques, je sais ce que c’est, les conséquences de la prise de risque, je sais ce que c’est, et je sais ce que ça coûte. Ça coûte des économies, ça coûte son temps libre avec ses enfants, avec sa compagne, avec sa famille, ça coûte aussi parfois sa joie, son bonheur et sa santé.

Ce qui m’étonne le plus dans la mentalité française et ce qu’il faut urgemment changer, c’est que lorsqu’on est un entrepreneur qui se plante, on est apprécié. Là on est un bon entrepreneur, celui qui ne dérange pas avec sa réussite. Celui qui rassure ceux qui n’ont pas eu envie de prendre ce risque, celui qui leur permet de se dire qu’ils ont fait le bon choix. Le bon choix de ne pas prendre le risque de créer une entreprise. En revanche quand on est un entrepreneur qui réussit, là on devient un « petit salaud de riche ordinaire », celui qui dérange. J’ai été de ces 2 sortes d’entrepreneurs, mais je suis la seule et même personne, ce petit garçon qui a décidé de se retrousser les manches pour créer des choses. Parce qu’il avait besoin avant tout d’exprimer sa créativité, qu’il avait besoin avant tout de liberté.

Et ce n’est pas l’argent, le gain, qui motive avant tout pour la création de richesse. Non, parce que le risque est tellement élevé que si c’est uniquement l’argent qui motive, ça ne marche pas. Non, celui qui crée de la richesse le fait avant tout parce qu’il a confiance en lui et qu’il a envie d’exprimer un talent. Par la même occasion il contribue à la société.

Arrêtez de croire que l’on paye moins d’impôts que vous et que c’est pour ça que l’on réussit à avoir un meilleur train de vie.

Actuellement, un entrepreneur en France redistribue entre 65% et 80% de la valeur qu’il crée selon son niveau de réussite. Oui, c’est le réel niveau de prélèvement par le « système » comme on dit. Voici un petit Résumé simple de la situation :


 

Et tout ça avant de payer comme tout le monde les taxes locales, Taxe d’Habitation, Taxe Foncière, Taxe sur les carburants, … on arrive au final à 70/80% selon le niveau de vie. Alors, arrêtez de pointer du doigt tous ces créateurs de richesse en les traitant de nantis! Ces nantis reversent déjà 70 à 80 % de ce qu’ils génèrent dans le système. Arrêtez de croire que c’est moralement acceptable d’augmenter encore ce curseur. Pourquoi croyez-vous que tant d’entrepreneurs fuient la France? A ce niveau de taxation on est déjà proche de la spoliation.

Nous sommes à la base un pays d’entrepreneurs, mais un pays d’entrepreneurs qui vont de plus en plus s’exprimer à l’étranger.

Ce n’est pas de notre faute si le système est un panier percé mal géré qui fait que vous ne revoyez qu’une infime partie de cette valeur que nous déversons dans le système. Le problème n’est pas que certains arrivent à s’enrichir, le problème est l’appauvrissement global par l’asphyxie de l’économie sous ce poids des charges. Et ce n’est pas parce que certains s’enrichissent, que d’autres s’appauvrissent bien au contraire. Quand quelqu’un s’enrichit en France, durant sa période d’enrichissement il reverse déjà entre 70% et 80% de ce qu’il génère à la collectivité. Grâce à ça, on crée des hôpitaux, des routes, on paie des retraites, on verse des RSA, primes d’activité, du chômage, des allocations familiales, des apl, des als. On construit des hlm, on finance les arrêts de travail, on a des policiers, on a une armée on a une école, on se soigne gratuitement pour les gros pépins de la vie.

Malheureusement on gaspille énormément, parce que c’est l’argent du système on s’en fout et on s’en fout d’autant plus qu’on y contribue le moins. C’est bien là le problème permissif du système.

Voilà pourquoi nous, entrepreneurs, qui sommes pour certains des « petits salauds de riches ordinaires », nous voudrions vous sensibiliser sur cette gabegie financière que l’on a créé tous conjointement. Et si on n’y prend pas garde et si on ne fait rien, le système implosera de lui-même à un moment donné, car avec 100 % du PIB en dettes, malgré le niveau de prélèvement que l’on possède déjà, la fin de la récréation sera très vite sonnée. La seule issue est la baisse des dépenses publiques, pas l’augmentation des impôts.

Après avoir reversé tout au long de cette période d’enrichissement entre 70% et 80% de la valeur créée, si en plus vous avez le malheur d’être plutôt fourmi que cigale et que vous avez épargné une partie de ces 20 à 30 % restants. Le jour où vous mourrez on vous en reprend la moitié par le biais des droits de succession. Globalement vous aurez reversé non pas 70 à 80%, mais 85 à 90% de ce que vous aurez accumulé tout au long de votre vie ! Et tout ça sans ISF ni IFI!

Ceux qui veulent réinstaurer l’ISF, seraient-ils prêts à prendre des risques pour créer de la valeur dans un pays où, au final, on vous laisse 10 % de ce que vous avez généré si vous réussissez, mais où vous prenez 100% des pertes si ça ne marche pas. C’est ça votre modèle de justice sociale et équitable?

Que s’est-il passé au long de toutes ces années où le système s’est si gracieusement servi dans les poches de ceux qui ont tiré ce pays vers le haut. Ce sont des hommes et des femmes libres, libres d’aller exprimer leur talent ailleurs. Oui, si en plus de se faire dépouiller pour financer la collectivité ils se font insulter de petits salauds de riches ordinaires, ils vont exprimer leur talent à l’étranger.

Au fur et à mesure que nous quittons et quitterons progressivement la France, le seuil à partir duquel on est considéré comme un petit salaud de riche ordinaire baissera progressivement. Et « l’autre » sur lequel il faut encore augmenter les taxes ce sera bientôt vous. Déjà Hollande avait expliqué que c’était à partir de 4000 € par mois. Lui qui se cumulera 15 000 € de retraite par mois. (Voir 36000€/mois si on préfère les FakeNews).

Je vous laisse méditer le niveau de fiscalité que vous trouveriez acceptable pour vous.

Le bateau coule il faut écoper, mais écoper dans le bon sens en diminuant nos dépenses publiques, pas en augmentant les impôts, ce qui reviendrait à prendre de l’eau dans la mer et à la déverser dans la barque qui coulerait encore plus vite. Les petits salauds de riches ordinaires savent nager sans bouée, pourtant ils préféreraient sauver le Titanic, mais pour ça nous devons tous écoper dans le bon sens.

 

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C
Si la part de fiscalité ne cesse d'augmenter pendant notre Ve république, sa première décennie semble faire exception à la règle puisque le PIB lui aussi s'accroît. <br /> Sa chute ne s'amorce qu'à partir de 1969 . Curieusement, après le refus des français de la décentralisation proposée par Référendum, à l'initiative du Chef de l'Etat, conduisant alors à sa démission. Est-il besoin de le nommer ? <br /> <br /> N'oublions pas ensuite, en 1974, le premier choc pétrolier, "arme économique" de l'OPEP (ils n'avaient pas d'idées...Mais ils ont toujours le pétrole)<br /> <br /> Rappelons également "le tournant de la rigueur" :<br /> « Au plan économique, le gouvernement pense réduire le chômage par une politique de relance par la consommation." Cependant, la situation économique se détériore : pour juguler l’inflation, le gouvernement met en œuvre un blocage des prix et des revenus en juin 1982 ; le déficit budgétaire se creuse, et le franc est dévalué trois fois en 1981, 1982 et 1983.<br /> Il est impossible d’envisager la poursuite d’une telle politique sans sortir le franc français du système monétaire européen. <br /> Deux choix s'offrent alors au gouvernement : <br /> Une politique généreuse mais dépensière, avec un fort déficit et ... la sortie de la France du système monétaire européen (SME).<br /> Une politique d'apparente austérité, au prétexte du maintien de la France dans la construction européenne. Ah ! La vieille Europe ! Bien utile parfois … Au fait, qui présidait aux destinées de la République ?<br /> En 2014, quatre ans avant les gilets jaunes, NDA s'indignait du "Triste spectacle donné par un François Hollande qui n’a plus d’autre marge de manœuvre, pour essayer de faire croire qu’il résiste, que d’avancer à reculons vers un supplice auquel il a renoncé en réalité à se soustraire" : 0,7% de croissance annuelle en moins à l'horizon 2017 ! <br /> Après moi...le déluge ! Vous avez dit choix fuyants ? A MARRAKECH ?
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D
tout ceci a le mérite d'être très clair . J'ajouterai simplement que l'assistanat est devenu une plaie, un puits sans fond. Ils sont légions maintenant à profiter de ce système; tous les français devraient dénoncer ce procédé qui encourage des individus à faire de l'argent en dormant comme disait "TONTON"; nos politiques par lâcheté nous endorment. Il ne faut surtout pas toucher au public sans quoi on perd son fauteuil. La France avec ses 11% de fonctionnaires prend le même chemin que la Grece. Voilà ce qui nous attend d'ici peu si on n'y prend garde. Gouverner c'est prévoir à long terme. Aujourd'hui notre pays suit les évènements. Ces messieurs enarchisants nous racontent des fadaises. Un tsunami de dettes nous emportera. Les plus pessimistes parlent de guerre civile, restons calmes et obligeons ceux qui ont voulu la place à prendre les bonnes décisions
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