21 Décembre 2018
(I) TRAGEDIE : Il y a une semaine : attentat à Strasbourg ; Nombreux morts et blessés.
Deux jours plus tard l'auteur de l'attentat, Cherif Chekkat est repéré, poursuivi et tué par les forces de l'ordre. Justice est faite, mais les morts ne sont pas revenus à la vie.
PANTALONADE : A l'Assemblée Nationale, un jeune député LREM, surjoue la mentalité actuelle du milieu politique français, larmoyant et pathétique : « un jeune français, né en Alsace …. etc, etc. La « représentation nationale » debout, pathétique, applaudit et surjoue à son tour la complainte du député pathétique.
Acte III : Mais la famille de l'assassin (le « Français, né en Alsace, etc, etc) émet le souhait que Chekkat soit inhumé en Algérie, sa patrie !
L’Algérie refuse de rapatrier le corps de Cherif Chekkat.
« L’Algérie a refusé de rapatrier le corps Cherif Chekkat, l’auteur présumé de l’attentat de Strasbourg ayant fait cinq morts et une dizaine de blessés. Ce n’est pas la première fois que les autorités algériennes refusent une telle procédure.
Neutralisé jeudi 13 décembre par la police rue du Lazaret à Strasbourg (Bas-Rhin), le terroriste d’origine algérienne, Cherif Chekkat ne sera pas enterré en Algérie. Selon les informations de nos confrères de TSA, la requête de rapatriement du corps sera refusée par les autorités algériennes «conformément à la doctrine algérienne concernant cette question ».
Ce n’est pas la première fois que les autorités algériennes refusent de recevoir les cadavres de terroristes tués à l’étranger. Le cas de Mohamed Merah, assassin de sept personnes en 2012 à Toulouse, avait déjà posé un problème similaire. L’Algérie, dont il était également originaire, avait catégoriquement refusé d’accueillir sa dépouille.
Le père de Chérif Chekatt s’est présenté, hier mercredi à la mairie de Strasbourg pour demander le rapatriement du corps de son fils en Algérie. «Il fallait qu’il obtienne des actes de décès. Il nous a indiqué qu’il allait demander au consulat d’Algérie un rapatriement du corps de son fils», a fait savoir le maire de la ville, Roland Ries ».
(V) Conclusion :
Que faire du corps du terroriste mahométan Cherif Chekkat ?
Vue l'opposition de l'Algérie au rapatriement du cadavre de son indésirable co-ressortissant - quoique ce rapatriement fût pleinement légitime, ne serait-ce que pour des motifs de « respect » identitaire et par respect pour les accords d’Évian restituant au peuple algérien sa dignité en plus de sa pleine et souveraine identité.
Alors que faire de cette encombrante relique ?
Pourquoi ne pas demander des conseils à Tel-Aviv ? : ou, tout simplement, faire la même chose que les Israéliens ont fait des restes indésirables de l’immonde Eichmann : on incinère d’abord et on jette en mer ensuite, hors des eaux territoriales, ce qui reste de l'assassin patriote. Et qu’il soit fait une loi pour qu’il en soit ainsi de chaque « martyr » d’Allah qui prendrait la France pour tremplin de sa coranique « sainteté ».