4 Décembre 2018
Alors qu'on ne parle, étrangement, que de la taxe carbone pour expliquer la révolte initiée par les véritables Gillets Jaunes du début de l'insurrection, le silence est assourdissant, d'autres motifs bien plus graves de mécontentement qui menace aussi l'avenir de la France.
Ces motifs (dont se gardent bien de parler les récupérateurs gauchiste du mouvement Gillets Jaunes puisqu'ils vont dans le sens de leur idéologie gauchiste et antinationale) doivent être aussi mis sur la table des négociation avec le gouvernement.
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I ) Ces Milliards soustraits aux Français pour les peuples étrangers via l'AFD
Limpide ! mais silence médiatique assourdissant !
N'oubliez pas d'y ajouter tous les privilèges (toujours votés à une touchante unanimité) de notre classe politique...
Vous comprendrez mieux le pourquoi des augmentations : de la CSG (Retraités), taxes (carburants, etc)...A écouter attentivement :
https://www.youtube.com/watch?v=qyvt5A4YGoI
II ) Les retraités ponctionnés pour les immigrés
https://www.lesalonbeige.fr/les-retraites-ponctionnes-pour-les-immigres/
Nos lecteurs retraités seront sans doute ravis d’apprendre que la nouvelle loi de finances prévoit qu’une partie de l’argent dont l’État vient de les priver à raison à la fois de la hausse de la CSG et du quasi-gel (+ 0,30% par an) de leurs pensions jusqu’à fin 2020 va immédiatement servir à revaloriser les prestations servies aux demandeurs d’asile qui, elles, après avoir été tout récemment substantiellement majorées sous la pression du Conseil d’État, demeurent intégralement indexées (+1,60%) sur l’inflation.
Cette discrimination proprement scandaleuse montre que les sacrifices sont loin d’être les mêmes pour tous et que le Chef de l’État préfère pénaliser durement ceux qui ont fourni toute une vie de travail au pays que de modérer si peu que ce soit les concours alloués à ceux qui vivent uniquement de la générosité d’un pays, dans lequel ils viennent tout juste d’arriver. Ceci non seulement confirme bien comme nous l’avons déjà écrit qu’entre les retraités et le Président la guerre est déclarée, mais qu’en outre Monsieur Macron voue comme une sorte d’antipathie personnelle et compulsive au monde des retraités :
– dès l’origine, il les traite de “rentiers”, ce qui dans la bouche d’un jeune financier relève quasiment de l’insulte,
– il les considère comme des “nantis” parce qu’en plus de quarante ans de travail et d’épargne, ils se sont constitués un patrimoine supérieur au patrimoine moyen d’un actif supportant encore le poids des crédits avec des charges de famille, et ayant surtout moitié moins d’années de carrière,
– dans la ligne de France Stratégie, il les accuse de capter indûment des ressources qui seraient plus utiles à la jeunesse,
– et enfin, il leur reproche implicitement – et c’est un comble – de ne plus travailler, en tirant le trait gras du cynisme et de l’ingratitude sur leurs états de service antérieurs.
À tel point qu’on ne peut s’empêcher de songer au vieil adage populaire, selon lequel “qui veut noyer son chien l’accuse de la rage“. En conséquence de quoi et alors que, successivement le candidat, puis le Président, avaient solennellement promis de garantir leur pouvoir d’achat, les retraités – et surtout leurs pensions – essuient ces dernières années un feu nourri, croisé et quasi-continu de la part des deux derniers Présidents, qu’ils soient à l’arrêt avec Hollande ou en marche avec Macron. L’enchaînement de toutes ces mesures est en effet impressionnant, à tel point qu’il n’est pas excessif de prétendre qu’on passe d’une fiscalité déjà confiscatoire à une fiscalité ouvertement vexatoire et punitive. Citons notamment :
– la CASA à 0,30%, alors que le jeune E. Macron n’était encore que le conseiller économique du Président Hollande,
– puis une majoration de CSG sans aucune compensation et qui rabote de 1,85% le net des pensions,
– le décalage porté à 12 mois de la prise en compte de l’inflation dans les retraites de base,
– le quasi-gel (+ 0,30% par an) des pensions du régime de base au titre des années 2019 et 2020, malgré une nette reprise de l’inflation annuelle originellement estimée a minima à 1,6% par les chiffres officiels et à bien plus lorsque le prévisionniste est indépendant,
– et enfin l’incertitude absolue quant à la moindre garantie de pouvoir d’achat pour les années suivantes.
Ce qui, tous calculs faits pour une retraite de base, représente du 1er janvier 2013 au 31 décembre 2020 l’équivalent d’une perte estimée à plus de 18 jours de pension sur une année calendaire […]
Message URGENT de Guillaume de Thieulloy
Cher ami lecteur
allons-nous manquer d’espérance ?
Vous et moi souhaitons de toutes nos forces que le mur de la culture de mort s’effondre.
Le Salon Beige participe à cette tâche selon ses capacités. Mais nous ne pouvons rien faire sans votre générosité.
S'il vous plait, faites un don aujourd'hui. Merci
On ne lâche rien, jamais !
Guillaume de Thieulloy
Directeur du Salon Beige
III ) Il y a en effet des limites à ne pas franchir
"Aucune taxe ne mérite de mettre en danger l'unité de la nation", a eu le culot de déclarer Edouard Philippe. Parler de mettre en danger l’unité de la nation alors que dans moins d’une semaine Monsieur Macron se rendra au Maroc pour y signer à l’insu des Français le permis d’inhumer de la France, c’est franchir la ligne qui sépare le droit au respect à l’impératif du mépris.
Ce permis d’inhumer - qui n’a pas été élu en qualité de syndic de faillite - n’est rien d’autre que le quasi clandestin Pacte Mondial pour l’Immigration diligenté dans toute l’opacité d’un « Machin », qui, plus il s’éloigne de la SDN (en termes de passivité), plus - en même temps - il s’en rapproche.
Monsieur le président ira donc signer sous la couverture des « Nations unies » un pacte d’agression contre les nations, le pacte en question promettant aux clandestins et autres immigrés illégaux d’être automatiquement régularisés en France.
D’autres pays européens refusent évidemment de signer ce pacte d’inversion - conscients du danger qu’il y a à s’invertir en toute chose - mais qu’importe ? Dès lors que l’illégalité sera francisée, les portes de la mendicité, de la délinquance - et parfois même de la rédemption - seront ouvertes dans toute l’Europe à quiconque aura pris la peine de se déplacer. L’intention est sans doute criminelle car même un esprit d’une tournure modeste, même un esprit réticent à l’arithmétique élémentaire ne peut ignorer dans quelle direction pareille folie va détourner les finances publiques de l’aide à laquelle aspirent les Français les plus nécessiteux. Tout ça pour l’installation d’une population désœuvrée et étrangère qui représente indiscutablement une menace pour tous les équilibres démographiques, sociaux, culturels et budgétaires d’une France déjà trop malade pour que sous les petites filouteries ne soient pas liées à une ferme résolution d’euthanasie.
Que, dans un pareil contexte, un « responsable » - les guillemets sont de rigueur - politique ait le culot de déclarer : "Aucune taxe ne mérite de mettre en danger l'unité de la nation" n’est rien d’autre qu’un répugnant blasphème. L’unité de la nation dans pareille bouche a d’indécents relents pornographiques.