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Le Scrutateur.

Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.

Une confidence d'Emmanuel Macron à Verdun sur les sans papiers qu'il faudrait expulser.

Une confidence d'Emmanuel Macron à Verdun sur les sans papiers qu'il faudrait expulser.

Propos de politicien prenant conscience du mécontentement du peuple français sur le sujet de l'immigration ? La parole sera t-elle tenue ? Quoiqu'il en soit il m'a paru utile de la transmettre. Pour écouter la video cliquer sur le lien ci-dessous.

 

VIDEO. "On va continuer le travail" : Emmanuel Macron répond à un ancien combattant lui demandant d'expulser les sans-papiers


 

(https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/video-on-va-continuer-le-travail-emmanuel-macron-r%c3%a9pond-%c3%a0-un-ancien-combattant-lui-demandant-dexpulser-les-sans-papiers/ar-BBPtvg3?li=BBoJIji&ocid=ACERDHP15 )


 

Leur conversation, lors d'une cérémonie commémorative à l'ossuaire de Douaumont, a été captée par les caméras de l'émission "Quotidien".


 

Ses mots sont moins choisis que quand il évoque le sujet en public. Lors d'une cérémonie de commémoration de la Première Guerre mondiale à l'ossuaire de Douaumont, près de Verdun (Meuse), mardi 6 novembre, Emmanuel Macron a été interpellé par un ancien combattant au sujet de l'immigration. "Quand mettrez-vous les sans-papiers hors de chez nous ?", lui demande ce dernier. L'émission "Quotidien" a diffusé mercredi la réponse du chef de l'Etat, captée par un micro.

"Ceux qui n'ont pas de papiers et qui n'ont pas le droit à l'asile, croyez-moi qu'on va les... On va continuer le travail", commence à répondre Emmanuel Macron. "Je pourrais le dire aux autres ?", interroge l'ancien combattant, ce à quoi le président répond par l'affirmative.

Il poursuit sa réponse en des termes plus policés. "Il faut qu'on soit plus efficaces dans la manière d'héberger les gens quand ils sont dans la nécessité", précise Emmanuel Macron. "Ceux qui fuient leur pays, parce que c'est leur liberté, il faut les protéger. Mais ceux qui viennent alors qu'ils peuvent vivre librement dans leur pays, il faut les raccompagner. Voilà ma réponse", conclut le chef de l'Etat, sans répondre à son interlocuteur quand il lui demande si "ce n'est pas le Cheval de Troie qu'on met en place".

 

 

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