29 Octobre 2018
En pleine crise politique, économique, sociale après 40 ans de pourvoir de gauche, dont le couronnement fut la condamnation à la prison de son leader charismatique LULA. Il faut espérer que les nouveaux arrivants sauront réagir pour mettre fin à la crise ; avec force, mais sans atteintes aux droits fondamentaux.
Tous les amoureux de liberté se réjouiront de cette victoire d'un parti très populaire, contre une gauche encroûtée et fidèle à ses principes : la prétention au monopole du BIEN, à l'honnêteté, et à l'incarnation de la démocratie. Or le peuple depuis quelques années, et maintenant au Brésil, affiche son hostilité pour les partis qui se réclament de lui.
Déjà les militants gauchistes s'interrogent : La démocratie n'est-elle pas un mode de gouvernement dépassé ? Ces messieurs pensent déjà au recours aux grands dictateurs du passé aux grands hommes de BIEN (cf. http://www.lescrutateur.com/2018/10/qu-est-ce-que-la-volonte-generale-de-jean-jacques-rousseau-a-notre-conseil-d-etat-en-passant-par-robespierre-bonaparte-lenine-stalin) , le temps des dictatures à vie des Staline, des Castro, des Hitler, tous de gauche ?
En Europe saurons-nous tirer les leçons de la montée de la colère des peuples. (Le Scrutateur).
Le candidat d'extrême droite, parfois surnommé le «Trump des tropiques», l'a emporté haut la main, dimanche, avec 55% des scrutins, à l'issue d'une campagne particulièrement tendue.
Le candidat d'extrême droite Jair Bolsonaro a été élu haut la main président du Brésil, dimanche, avec plus de 55 % des voix contre 45 % à son adversaire de gauche Fernando Haddad. La jeune démocratie brésilienne bascule ainsi dans une grande inconnue avec son premier président d'extrême droite plus de 30 ans après la fin de la dictature.
«Nous ne pouvons plus continuer à flirter avec le socialisme, le communisme, le populisme de gauche», a affirmé Jair Bolsonaro dans son premier discours, retransmis en direct sur Facebook. Entouré de sa troisième épouse Michelle et d'un pasteur évangélique, il a assuré que son gouvernement «défendra la Constitution, la démocratie, la liberté». «Ceci n'est ni la promesse d'un parti, ni la parole vaine d'un homme, mais c'est un serment devant Dieu», a-t-il poursuivi, répondant ainsi à ses détracteurs qui le voient comme une menace pour la démocratie.
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