13 Août 2018
1 ) A Washington, hier. 2 ) Ce livre dont Le Monde n'a guère parlé ! 3 ) Cette neo collaboration dont Le monde est un habile soutien.
Quelle belle victoire de l’intelligence, lorsque l’extrême droite n’ose pas se montrer. Double victoire, même, quand c’est à Washington que le miracle se produit. Miracle, car, pour ce qui est de l’intelligence, Washington ( comme Le Monde d'ailleurs ) n’est pas tout à fait ce que Limoges est à la porcelaine ou Montélimar au nougat.
Il faut peut-être préciser, du reste, que ce qu’on appelle l’extrême-droite est un agrégat d’imbécillité et de brutalité qui caractérise l’essence même de la gauche. C'est d'ailleurs Le Monde qui le dit, afin d'éliminer tout risque d'erreur !
« L’extrême-droite » est donc - en matière strictement conceptuelle et lexicale - un malentendu total, entretenu à dessein par une gauche qui pratique à sa manière une forme de thérapie (verbale) qui, loin de la guérir de sa pathologie congénitale aggrave son mal. Oui, l’extrême-droite aurait de bonnes - et même d’excellentes - raisons de se cacher. Exactement comme son substrat originel - plus vantard, toutefois, et surtout plus maquignon - la gauche. La gauche dans son ensemble (y compris ses side-cars qui s’étiquettent « de droite » tellement - comme aux LR - ils sont conscients que tout ce qui est de gauche devrait se cacher). N’oublions jamais que dans la gauchlangue ( ou novlang, pour coller au texte original d'Orwell) : la culture c’est l’ignorance et l’ignorance c’est la culture. Ainsi à « l’extrême-droite » (comme à « droite », d’ailleurs) il y a des légions d’imbéciles qui se croient de droite, parce que - entre gens de gauche, finalement, on se comprend toujours.
Félicitons donc cette extrême-droite - néo National-SOCIALISTE, donc - de ne pas vouloir se montrer, même si c’est à Washington. Après tout, n’est-ce pas de Washington qu’est partie la Révolution française ?
Washing Town lave plus propre, c’est bien connu.