27 Juin 2018
La solution pour le problème migratoire n'est peut-être pas en Lybie. Elle n'est sûrement pas en France, et en Europe pour ces centaines milliers de malheureux dont les mentalités et coutumes sont difficilement intégrables par cette Europe qui passe en même temps, comme dirait l'autre, par un doute profond sur elle-même engendré par des castes d'hommes d'affaire internationaux, relayés par des médias à leurs ordres pour les plus importants d'entre eux.
On lira ci-dessous l'article de M. Jacques Guillemain ( dans La lettre hebdomadaire de Lmigne droite : https://lignedroite.club/lobjectif-de-ligne-droite/ ) qui pour n'être pas paroles d'Evangile, n'en donne pas moins à penser. ( Le Scrutateur ).
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Pendant que l’Europe entière se pâme à l’accueil des 629 réfugiés de l’Aquarius à Valence, des centaines d’autres clandestins continuent de franchir quotidiennement les frontières françaises, que ce soit par les Pyrénées, les Alpes ou par la Belgique et l’Allemagne. Et en Espagne, le mouvement s’accélère. A quoi sert Frontex ? A rien. 900 migrants sont arrivés en Andalousie pendant que l’Aquarius monopolisait l’actualité après le coup de gueule justifié des Italiens. Avec l’Aquarius, l’Europe semble découvrir qu’elle est une terre d’asile. 700 journalistes venus du monde entier, 1000 bénévoles de la Croix rouge, 470 traducteurs, 600 policiers et des centaines de fonctionnaires pour gérer la situation. Du pur délire hollywoodien. Une mise en scène monstrueuse, orchestrée par les immigrationnistes de tout poil, gouvernements et ONG en tête. Selon un sondage Opinion Way, 56% des Français estiment que la France a fait le bon choix en n’accueillant pas l’Aquarius, contre 42% qui pensent le contraire (2% ne se sont pas prononcés). Plus d’un milliard d’Africains suivent la situation de près, préparant leur baluchon par centaines de milliers, pour la plus grande joie des passeurs et des ONG complices. C’est le plus formidable appel d’air depuis la folle déclaration d’Angela Merkel en 2015, ouvrant l’Allemagne à plus d’un million de réfugiés. Notre gouvernement a déjà fait savoir que ceux qui souhaitent choisir la France comme destination étaient les bienvenus. On connaît la suite. Réfugiés ou déboutés, tous resteront en France. La routine quotidienne. C’est tout notre ex-empire colonial qui souhaite rejoindre cette Métropole honnie, avec laquelle tous les pays d’Afrique avaient voulu rompre en 1960. Car l’indépendance, c’est bien, mais la liberté n’empêche pas de crever de faim. Comme dit Poutine, “La France est devenue la colonie de ses colonies”. Car chaque citoyen doit savoir que la France accueille un Aquarius par jour, avec au bas mot 200 000 clandestins par an qui s’invitent au paradis du tout gratuit. Nous avons 1 million de clandestins puisque chaque année les déboutés du droit d’asile viennent s’ajouter par dizaines de milliers aux clandestins déjà présents. Plus de 90 000 sont contrôlés chaque année mais jamais expulsés. Plaisanterie qui dure depuis 30 ou 40 ans. 300 000 sont soignés par l’AME. Le chaos racial que met en œuvre le gouvernement par son inaction coupable va tout simplement détruire l’avenir des générations futures. Avouons qu’il aurait tort de s’en priver puisque les Français votent depuis 40 ans pour les mêmes immigrationnistes et n’ont jamais manifesté contre l’immigration. Pour le pays champion de la manif à tout propos, dès le lycée, c’est bien le signe que le peuple approuve sans réserve la mise en œuvre de sa propre destruction. Mais parlons de la Suède, ce paradis social qui se transforme en enfer. Car le scénario suédois, c’est celui qui va gagner toute l’Europe. Puisque nos médias, totalement favorables à la liquidation de la nation française, mentent à longueur de journée, c’est encore une fois à l’étranger qu’il faut chercher la véritable information sur les ravages de l’immigration extra-européenne. Judith Bergman, analyste politique, n’y va pas par quatre chemins et titre carrément“ La Suède en chute libre”. La Suède d’aujourd’hui, c’est un avant-goût de la France de demain : depuis 2005, date à laquelle la dernière étude a été publiée, BRÅ, à qui incombe la publication des statistiques relatives à la criminalité en Suède, refuse de rendre publiques les données sur l’identité ethnique des criminels. Néanmoins, un article récent d’Expressen a indiqué que sur 32 cas de viols collectifs jugés en 2016 et 2017, 42 des 43 violeurs étaient des migrants ou des descendants de migrants ; 32 étaient nés à l’étranger ; 10 étaient nés en Suède de un ou deux parents eux-mêmes nés à l’étranger. Les hommes avaient en moyenne 21ans au moment du crime et 13 d’entre eux avaient moins de 18 ans. Le gouvernement suédois de son côté, ne s’émeut guère des risques accrus de viols collectifs et autres crimes potentiels commis par les migrants. Un projet de loi est en cours de discussion pour doter d’un permis de séjour temporaire les 9000 mineurs non accompagnés dont les demandes d’asile ont été rejetées. Ces personnes, qui auraient dû être expulsées, sont presque tous de sexe masculin et il est avéré que 7000 d’entre eux ont plus de 18 ans et ne peuvent pas être considérés comme mineurs. Deux mosquées suédoises, une à Botkyrka depuis 2013 – et une à Karlskrona, sont autorisées à sonoriser leurs appels à la prière le vendredi. L’imam local, Ismail Abu Helal, a déclaré que l’appel public à la prière permettrait aux musulmans de mieux s’intégrer dans la société suédoise. Le genre « d’intégration » que la mosquée de Växjö conseille aux musulmans passe par le refus de participer à la célébration de Noël des « kouffars » [un terme péjoratif pour « incroyants »] ; quant aux juifs, ils sont mentionnés comme les ennemis d’Allah. L’école de la mosquée utilise des programmes scolaires saoudiens. Elle encourage les femmes à ne pas s’habiller « à l’occidentale » et affirme que les filles doivent apprendre à « s’habiller décemment dès l’enfance ». A l’évidence, c’est la Suède qui s’intègre dans la culture islamique. A croire que les Européens ont perdu tout instinct de survie.