Un concon flingueur se voulant président des « sans dents ».

Lorsque Hollande assure avoir été le président des pauvres, il faut prendre le mot "pauvre(s)" comme un simple adjectif.

Maintenant il faudrait surtout trouver le moyen de faire taire cet imbécile qui finit par devenir - comme d'autres avant lui - une véritable nuisance sonore en plus d'un trouble de l'ordre public, mais surtout une source de pollution intellectuelle qui, comique lorsque ses émissions sont  occasionnelles, devient pénible lorsque celles-ci sont permanentes.

Hollande a au moins deux mérites : premièrement celui de montrer que le comique de répétition a ses limites, et deuxièmement que le suffrage universel aussi (ce que l'on sait depuis la libération de Barabas, et qui a été confirmé par l'autorité acquise au pays de Goethe par un certain Adolf H.).

Eh oui ! Les cons élisent forcément des cons et puis ça devient des spirales infernales. Quand on pense que le Président-Gugusse est le successeur du roi-soleil, on se dit qu'entre l'astronomie et l'astrologie, l'observation de la course des orbes célestes promet encore bien des découvertes. 

Tout le monde se souvient de la réplique "culte" des "Tontons flingueurs" : "Le jour où on mettra les cons sur orbite, t'as pas fini de tourner" ? Eh bien ça y est : les cons sont sur orbite. Un certain con, en tous cas : le concon flingueur. Tout ça parce qu'un certain Tonton a flingué la France, en parfaite connaissance de cause (raison pour laquelle l'histoire devrait s'en souvenir comme de... François-le-Fécal). Que voulez-vous ! Tout le monde n'est pas Pierre-le-Grand, Philippe-le-Bel, Winnie-l'Ourson ou... Maxime-le-Forestier.

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