6 Avril 2018
1 ) Sont des choses qu'arrivent. 2 ) Se voyait déjà ... en haut de l'a...fiche ! ( air connu ). 3 ) Odieux le gamin ! 4 ) C'est déjà ça !
La récente mésaventure de Jean-Vincent Placé a soulevé chez moi, plus d'amusement que de d'ire. Cet homme qui aurait pu choisir d'être acteur de cinéma ( dans la série des James Bond, par exemple ) s'est toutefois trompé en se lançant dans la politique où la compét est plus rude, voire féroce. Il s'en sort plutôt bien, et les commentaires de presse, pour une fois, sont plutôt cools. Ce petit billet du Figaro me paraît somme toute le plus approprié. ( LS ).
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L'ancien secrétaire d'État Jean-Vincent Placé a été interpellé par la police alors qu'il se trouvait en état d'ivresse.
Le nom de l'ex-secrétaire d'État est le participe passé du verbe placer. Avant d'être en garde à vue, il fut d'emblée placé, et plutôt bien. En effet, ces dernières années, on a suivi ce personnage atypique du poste d'assistant parlementaire au gouvernement. Sans jamais savoir s'il se plaçait ou s'il l'était par les autres?
Faux placide et bon vivant, il paraît qu'il n'avait pas d'égal pour négocier des accords. Et par conséquent des places.
Est-ce pour cette raison que les écologistes avaient fondé quelque espoir en Jean-Vincent? Mauvais placement. Des témoins ont relaté qu'il avait eu envers une femme, un vigile et les agents dépêchés sur place des propos déplacés: pris de boisson, il parlait fort, semble-t-il, prenait la situation de haut: il menaçait d'en appeler à des personnages également haut placés.
Ce n'est pas la première fois que l'ancien élu fait parler de lui. C'est ennuyeux: même quand on s'appelle Placé, bis repetita ne plaisent pas.