8 Janvier 2018
Nos lecteurs se souviennent de M. Asselineau, qui fut candidat à l'élection présidentielle de 2017. Il savait qu'il ne gagnerait pas, ( faute d'une organisation politique puissante et du soutien des médias ) et se présenta comme un témoin, un semeur d'idées et de diagnostics qu'il formulait pour stimuler la réflexion en faveur de son pays. Ce qui est difficile au siècle des déferlements d'images qui donnent le tournis.
Quand on l'écoutait, au moins sur certains sujets, il donnait à réfléchir.
Il convient de pas tout oublier dans le carnaval des « réseaux » dits sociaux.
C'est la raison pour laquelle je publie cet article qui donne à penser dans le sens de ce qu'avait dit de Gaulle sur l'Europe, l'Europe, l'Europe ! à partir d'un exemple qui concerne la Guadeloupe. Oui à une Europe des nations, organisée de telle sorte que le maintien des souveraineté ne puisse grâce à une fédération des intérêts qui rendent impossible les guerre destructrice de jadis. Mais non à cette Europe paralysée depuis le traité de Maastricht, voulu par Mitterrand et Kolh en 1992.
LS.