Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.
7 Mars 2017
( Merci à ce lecteur qui m’a adressé cet article suivi d’un bref commentaire de lui. L’article porte sur la rage fort peu politique, s’apparentant plutôt à un comportement de spadassins aveuglément partisans. M. Fillon n’a commis aucune faute grave. Ce qu’on lui reproche, il ne l’a pas fait hors la loi. Tout au plus peut-on lui reprocher d’avoir agi sans prévoir que ses ennemis et adversaires jetteraient sur lui, le soupçon du vol et de la malhonnêteté, et tricheraient sur le montant de la somme d’argent payé à son épouse et à ses deux fils, plus de 900 000 euros, mais répartie sur une longue période de plus de quinze ans. Ce qui en termes de mensualités apparait comme un revenu tout à fait normal.
Le Canard enchaîné, les adversaires et ennemis, pariant de façon tout à fait déloyale, mais lucide, sur la veulerie des masses, ravies ( au pays des passe-droits, sous réserve du « pas vu, pas pris » ) de trouver un monsieur, sur lequel projeter leur envies médiocres ( au nom de l’égalité ) et à lapider au nom de leur immense « honnêteté », et leur faim de lapidation ( cf. http://www.lescrutateur.com/2017/03/fillon-le-bouc-emissaire-grille-de-decryptage-de-rene-girard.html?utm_source=flux&utm_medium=flux-rss&utm_campaign=politics ).
Aujourd’hui après une dure période où le candidat Fillon, soutenu pas des troupes nombreuses et fidèles s’impose comme leader, ceux, parmi ses « amis » ( avec de tels amis on n’a pas besoin d’ennemis ) l’avaient lâché, jusqu’à dimanche encore, lui reviennent. Même un Georges Fenech, longtemps considéré comme une girouette, mais qui était devenu une vraie toupie, tant il se donnait pour se reprendre, et se donnait pour se reprendre encore, semble avoir définitivement choisi de se rendre. Laissons l’avenir venir.
Il nous faudra revenir sue cette invraisemblable sottise des leaders de la droite. Comme chez ces gens là il y a nombre de personnalités ayant de l’expérience, il importe de s’interroger sur les « forces et les raisons pour l’instant occultes » qui sont intervenues pour animer ce triste caranaval.
Nous y reviendrons.
Le Scrutateur.
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Désemparés, les juppéistes se réunissent mardi matin au Sénat
· Par Tristan Quinault Maupoil
· Mis à jour le 07/03/2017 à 09:19
· Publié le 06/03/2017 à 13:36
- Ceux qui appelaient Alain Juppé à s'imposer comme candidat de substitution à François Fillon sont dépités mais veulent encore peser.
Sonnés par la décision d'Alain Juppé de ne pas servir de recours, ses proches se réunissent mardi matin au Sénat pour un petit déjeuner autour de Jean-Pierre Raffarin. «Pour faire un point sur la situation», confirme au Figaro l'un des élus qui a été convié à y participer. «Nous allons évoquer la suite. On veut peser sur la campagne pour éviter cette radicalisation, dans les mots et dans la forme, que nous constatons aujourd'hui». Sont attendus les députés Benoist Apparu et Edouard Philippe, la sénatrice Fabienne Keller, le sénateur Jean-Baptiste Lemoyne, ou encore Pierre-Yves Bournazel et Maël de Calan.
Pas question, a priori, d'évoquer un nouveau plan B pour compenser le refus de Juppé. Les lieutenants de ce dernier sont d'ailleurs très féroces à l'évocation du nom de François Baroin, évoqué ici et là comme possible recours. «Si le numéro 2 de la primaire, qui pouvait rassembler, qui était en capacité de se qualifier pour le second tour de la présidentielle n'a pas réussi à remplacer Fillon, alors qui serait plus légitime? Certainement pas le second couteau de celui qui est arrivé troisième à la primaire», ironise l'un d'eux. Le député Philippe Gosselin s'est lui aussi résigné à trouver un nouvel homme providentiel: «On va arrêter de cocher tous les plans B possibles... Il faut se faire une raison, on a déjà perdu suffisamment de temps», dit-il. Tout en dézinguant François Baroin: «Il n'a pas la légitimité de celui qui a été premier ministre ni l'expérience». Le parlementaire se désole: «François Fillon est programmé pour aller au bout, je ne l'imagine pas passer le relai». De fait, il refuse «d'ajouter du chaos au chaos» tout en lâchant: «Je crains que le parti soit fracturé et que la droite française le soit pour de nombreuses années».
Valérie Pécresse, qui a tenté d'engager une médiation dimanche, a jugé lundi après-midi sur Facebook que «François Fillon a pris hier soir sa décision. Alain Juppé qui aurait pu être un recours en a, dans l'esprit de responsabilité que nous lui connaissons, tiré toutes les conséquences». Ainsi, «à tous ceux, qui (...) ont pu s'interroger», Valérie Pécresse demande de «repartir au combat».
Alors qu'Alain Juppé songeait à s'élancer pour balayer des années difficiles et l'échec de la primaire, il a préféré rester dans sa forteresse de Bordeaux. «Il est trop tard pour moi», a-t-il lâché.
Il n'a pas voulu. Il n'a pas pu emprunter ce qui se présentait comme un chemin de croix. Un autre. Il a refusé d'être le recours. Il a refusé cette option qu'on lui proposait : Alain Juppé ou le retour du refoulé. Au sens littéral du terme. Non, il ne voulait pas de ça. De ce retour-là. Au rabais. Biaisé. Sans espoir.
Lucide, abîmé par sa défaite à la primaire de novembre dernier et la nette victoire de François Fillon, l'ancien premier ministre de Jacques Chirac n'a pas eu le cran d'entendre à nouveau ces reproches qu'on lui avait adressés il y a quelques semaines : qu'il n'était plus dans le coup, qu'il était décalé par rapport à la droitisation et à la radicalisation de son camp ; qu'il était trop mou, trop vieux ...
Les centristes de l'UDI se réunissent ce mardi
Ceux qui oeuvraient depuis plusieurs jours pour permettre à l'ancien premier ministre de s'imposer peinaient à imaginer la suite... «La mort?» s'interroge, dépité, un ancien porte-parole d'Alain Juppé pendant la primaire. «Je suis encore sous le choc», confie la sénatrice Fabienne Keller. «A cette heure nous n'avons pas de solution évidente qui s'impose», explique-t-elle, notant que les dizaines d'élus qui commençaient à parrainer Alain Juppé “au cas où” sont «devenus orphelins». «Le mur s'approche», indique l'élue, peinant à trouver un autre recours... La suite n'est pas plus évidente du côté de l'ancien ministre Dominique Bussereau. «Je n'en sais fichtre rien», lâche le député.
Quant aux troupes de Bruno Le Maire, qui s'étaient elles aussi tournées vers Alain Juppé, elles sont muettes. Georges Fenech, un sarkozyste qui avait appelé récemment à soutenir Alain Juppé a préféré prendre les devants en se portant vers François Baroin.
Reste l'UDI. Jean-Christophe Lagarde, le patron du parti centriste et les siens avaient prié Alain Juppé de revenir. À l'AFP, il a réaffirmé sa position: «Il faut que LR change de candidat pour avoir une chance de gagner». Le mouvement se réunira mardi soir pour prendre position. À la clé, un éventuel appel à Jean-Louis Borloo à se présenter coûte que coûte contre François Fillon pour offrir une alternative aux électeurs.
ALLONS, LES TENANTS SINCERES DE LA DROITE, COURAGE ET ACTION SONT LES SEULS MOTS D’ORDRE A DONNER SI NOUS NE VOULONS PAS REVENIR AUX TEMPS DU « MOI PRESIDENT » QUI NOUS A FAIT TANT DE MAL DURANT 5 ANS.
IL EST TEMPS DE SE POSITIONNER POUR GERER CORRECTEMENT LES DOSSIERS DE LA GUADELOUPE DANS LA FRANCE, ET METTRE HORS DU CHAMP DE TRAVAIL CES PERROQUETS QUI NOUS DIFFUSENT LEURS LITANIES HORS DU TEMPS ET DES REALITES, QUAND CE NE SONT PAS DES SIGNES DE SOUTIENS PUREMENT ET SIMPLEMENT AUX OPPOSANTS DECLARES A LA DROITE DEMOCRATE ET SOCIALE, MAIS NON SEPARATISTE.
LUCIDITE ET COURAGE DOIVENT PREVALOIR CONTRE TOUTES CES CONTORSIONS DE CELLES ET CEUX QUI NE REVENT QUE DE POUVOIR REPARTIR BRILLER DANS LES COULOIRS PARISIENS.
CA SUFFIT ET PASSONS AUX CHOSES SERIEUSES, SANS COMPLEXES ET SANS COMPLAISANCES ET SURTOUT SANS COMPROMISSIONS.