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11 Février 2017
Tandis que François Fillon est harcelé par une meute pugnace, pour ce qui n'est même pas un acte illégal, tout juste, un comportement quasi général ( et autorisé ) dans le milieu politique, mais que la harde monte en épingle pour décourager son électorat, Emmanuel Macron monte, monte dans les sondages. Macron qui n'est qu'un ancien ministre de François Hollande ( aujourd'hui méprisé de presque tous, mais dont la capacité de nuisance demeure intacte ), Macron qui est on l'a oublié le premier auteur de la loi qui, en tant que projet a porté son nom, avant d'être débaptisée ( on comprend maintenant pourquoi ) et de devenir la loi El Khomri sur le travail, Macron donc, joue l'innocent sur les estrades.
Il importe donc maintenant de s'occuper un peu de lui, et d'essayer d'ouvrir les yeux du public sur celui qui pourrait bien n'être qu'une marionnette entre de redoutables mains.
Partons donc d'abord d'un document où l'on peut lire que : ( voir la deuxième illustration de l'article , ci-dessus ).
( I ) Des dessous pas très propres :
Intéressant, non?
En 2010, alors que "Le Monde" cherche des investisseurs, le banquier de chez Rothschild conseille bénévolement la société des journalistes. Un double jeu ?PAR 6MEDIAS Modifié le 11/02/2017 à 16:05 - Publié le 11/02/2017 à 15:38 | Le Point.fr Selon le vice-président de la SDR du Monde, Emmanuel Macron les a trahis. © AFP/ TOBIAS SCHWARZ
C'est une histoire étonnante que dévoile Adrien de Tricornot, journaliste au Monde, à Street Vox. En 2010, il est vice-président de la Société des rédacteurs du Monde, actionnaire majoritaire du journal avec les lecteurs et les autres salariés du groupe. Le Monde est alors confronté à des difficultés financières et cherche de nouveaux investisseurs. Les journalistes cherchent à se faire conseiller et sont contactés par Emmanuel Macron, alors banquier chez Rothschild. Il « se présente à nous comme un banquier d'affaires qui fait de l'argent, mais n'y trouve pas du sens. [...] Et donc prêt à nous aider bénévolement », raconte Adrien de Tricornot. Quelques mois après le début de la collaboration qui se passe très bien, « on le trouvait formidable, super brillant », les journalistes s'orientent vers la proposition du trio Bergé-Niel-Pigasse, une proposition qui ne reçoit pas l'aval du jeune banquier. Le 3 septembre 2010, les journalistes du Monde vont rencontrer Pierre Bergé, qui a ses bureaux dans le même immeuble qu'Alain Minc, conseiller d'un autre candidat au rachat du journal. Et, alors qu'ils discutent devant l'immeuble, Adrien de Tricornot a la surprise de voir apparaître Emmanuel Macron dans le sillage d'Alain Minc. Trahison Le banquier rentrant à nouveau dans l'immeuble, Adrien de Tricornot va alors entamer avec lui une surprenante partie de cache-cache dans les étages du 10, avenue Georges-V à Paris. « J'arrive au dernier étage de l'immeuble. Je vois que la porte de l'ascenseur est bloquée – et effectivement quand j'avais essayé de prendre l'ascenseur, il n'était pas dispo. Et tout au bout de l'étage, sur le palier, il y avait Emmanuel Macron qui s'était bien replié au moment où il m'avait vu ! [...] je vois ce type juste devant moi, qui fait comme si je n'étais pas là. Je suis totalement sidéré. [...] Je lui tends la main et lui dis : Bonjour Emmanuel. Tu ne nous dis plus bonjour ? Mes autres collègues t'attendent en bas. J'ai senti à ce moment l'angoisse en lui. Il avait du mal à respirer. Son cœur battait à 200 à l'heure. » Pour le journaliste du Monde, Emmanuel Macron les a trahis en conseillant aussi Alain Minc sans leur signaler. Et Adrien de Tricornot de conclure : « Je crois être la seule personne à avoir joué à cache-cache avec un candidat à l'élection présidentielle… et à l'avoir trouvé ! »
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