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9 Février 2017
Avant hier soir, il est 23 heures, je jette un dernier coup d'oeil sur mes messages en provenance de facebook. Je note un commentaire, émanant d'un individu, Guadeloupéen, pas présumé parmi les plus bêtes du réseau socia : « je pense à ce jeune homme noir, victime de la brutalité policière » (sic ). Je décide de surseoir à ma réaction. Il est tard, je suis fatigué par la grippe très dure dont l'épidémie frappe tant de gens en ce moment.
Je note cependant l'expression de « jeune homme noir ». Et si, par hasard le jeune homme avait été « blanc », ou asiatique?
Il y a en effet, sur les réseaux sociaux, sur les médias classiques, et chez certains membres de la classe politique, un « deux poids deux mesures » fort inquiétant, non seulement pour les blancs, ou pour les jaunes ( je m'excuse pour l'emploi de ce mot de « race » qui n'existe plus, nous dit-on dans la langue française ! ), mais aussi pour les noirs, pour tous les hommes honnêtes, de toutes « races ». ( voir la quatrième partie de ce dossier ).
A force de saisir tout fait divers où deux hommes de « races » différentes se sont affrontés, comme une manifestation « raciste » ou …. le blanc a toujours tort, on ( le pouvoir socialiste depuis 40 ans, et le règne de François Mitterand ! ) on fabrique un pays de haine, de méfiance, et suspicion généralisée, on prépare une guerre civile, la pire de toutes les guerres.
On notera que dans cette « affaire Théo », on ne se demande pas pourquoi les quatre policiers sont intervenus sur le terrain ( voir dossier, première partie. Chasse aux trafiquants de drogue ); on ne s'étonne pas que la clameur publique ( créée par les médias ) entraine ( à moins que ce ne soit l'inverse ) une intervention massive de politiques, y compris un ministre et même le « président de la République » dont on appréciera à sa juste valeur l'attitude bonhomme, et bassement paternaliste au chevet du bon jeune homme Theo. Et ceci alors même que l'enquête n'est pas achevée. ( voir l'ensemble du dossier.
Oui, il est temps de placer au pouvoir, non des gauchistes du type Mélenchon, ou Hamon, ni le clone relouqué de Hollande qu'est Macron, mais un homme de bon sens, modéré, mais ferme sur des principes politiques et moraux qu'il revendique.
Le Scrutateur.
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( I ) INTERPELLATION DE THÉO : RETOUR SUR L'AFFAIRE EN QUATRE ACTES
( II ) « Affaire » Théo : IGPN : La thèse de l'accident.
( III ) Affaire Théo: la police des polices écarte la thèse du viol
Un notera, que l'avocat lui-même de Théo, ne retient pas « l'hypothèse » du viol.
L'Inspection générale de la police nationale (IGPN), la police des polices, a rendu ses premières conclusions à la juge d'instruction en charge de l'affaire d'Aulnay-sous-Bois.
Jeudi dernier, un jeune homme de 22 ans, Théo, est victime d'une très violente interpellation par quatre policiers, dans cette ville de Seine-Saint-Denis. Quatre policiers sont mis en examen: un pour "viol" et les trois autres pour "violences volontaires en réunion".
Pour l'IGPN, la thèse retenue est celle de l'accident et non du viol, indiquent nos confrères de LCI. Les enquêteurs ont notamment visionné les images de vidéosurveillance, sur lesquelles on voit Théo refuser de se laisser menotter.
C'est à ce moment-là que trois des policiers tentent de le maîtriser. L'un des agents aurait alors utilisé sa matraque télescopique pour mettre le jeune homme à genou.
L'IGPN indique également qu'aucun policier n'a baissé le pantalon du jeune homme pour lui introduire la matraque dans l'anus. Il s'agirait d'«un accident grave et réel mais ce n'est pas un viol».
Évoquer ce rapport de l’IGPN aujourd’hui est «un non-événement, ce n’est pas un élément nouveau» a déclaré Me Éric Dupond-Moretti, l’avocat de Théo. Le caractère non intentionnel «c’était la thèse du procureur, qui n’a pas été retenue par le juge d’instruction», a-t-il insisté.
La juge d'instruction dirige l'enquête et elle décidera des suites à donner à l'affaire. Selon LCI, la magistrate n'a pas encore pu visionner la vidéosurveillance en raison d'un problème technique.
De nouvelles interpellations en Seine-Saint-Denis
Vingt-huit personnes ont été interpellées pour violences urbaines mercredi soir en Seine-Saint-Denis, dont une à Aulnay-sous-Bois, dans un département en proie aux incidents après le viol présumé du jeune Théo lors d’une arrestation brutale.
La préfecture de Seine-Saint-Denis a confirmé que la nuit avait été «calme» à Aulnay, sans «événements majeurs mais quelques incendies». Une dizaine de personnes ont été arrêtées au Blanc-Mesnil. Plusieurs incendies sont survenus à Sevran. La police a constaté des jets de projectiles à Tremblay-en-France, Stains et Neuilly-sur-Marne.
( IV ) Un exemple typique du Deux poids, deux mesures, où seul le silence sur les « grands médias » répond à l'abjection raciste.
Ce fonctionnaire de l'Assemblée Nationale, entre la vie et la mort, dont ne vous parlent ni Omar Sy, ni Vincent Cassel, et autres poseurs « moraux » de l'internet.
( https://francais.rt.com/international/33716-barman-assemblee-nationale-entre-vie-mort-agression )
La violente agression du chef de rang de la buvette du Palais Bourbon a suscité l'émotion chez les parlementaires. Ces derniers lui ont rendu un hommage unanime alors qu'il se trouve toujours dans le coma à l'hôpital.
Pendant le week-end du 5 février, le chef de rang de la buvette de l'Assemblée nationale se trouvait dans le métro lorsqu'il a été témoin de l'agression de deux vieilles dames par quatre jeunes. Il a tenté de les secourir et les assaillants l'ont alors violemment passé à tabac, le laissant pour mort avant de s'enfuir.
Contusions, hématomes fractures... Jean-Michel Gaudin, 53 ans, est dans le coma depuis et le pronostic vital est engagé.
L'Assemblée nationale lui a rendu hommage ce 8 février. Son président, Claude Bartolone, a évoqué «la brutalité effrayante» de l'agression. «Apprécié de tous», il est «connu pour sa gentillesse, sa disponibilité et son engagement», a ajouté Claude Bartolone, avant que les députés de l'hémicycle n'entament une longue série d'applaudissements.