17 Janvier 2017
1 ) L. Reinette écoutant la fée Carabosse ( voir plus bas ) 2 ) Autres nervis du racisme. 3 ) Une affiche signée Luc Reinette. 4 )
L'antiracisme est devenu depuis les années Mitterrand le cache sexe le plus échevelé du racisme le plus effervescent, celui de ceux qui se plaignent d'être victimes du racisme. Un hitlérisme inversé où les blancs ( et ceux qui ne leur veulent pas malemort ) ont pris la place des juifs.
Ce racisme se manifeste parfois clairement, classiquement si j'ose dire ( faces de craie on aura votre peau ! ), mais le plus souvent avec l'aide des spécialistes en communication de la subversion racialiste, en termes plus habiles, mieux voilés qu'autrefois. Par exemple pour désigner, en Guadeloupe, ou en Martinique, les blancs on n'utilisera pas le mot adéquat, mais un substitut, « les Français » façon de dire que les blancs ne peuvent être Guadeloupéens et que les noirs ( ou non blancs ) ne peuvent être Français.
De nos jours les nazis, avant la prise du pouvoir, parleraient comme çà. On n'arrête pas le progrès ( ! ).
Nos néos nazis noirs ( enfin, certains ! ) prennent ces jours-ci pour cible Marine Le Pen, candidate d'un parti qui regroupe 25 % de l'électorat national, pour lui interdire de venir en Guadeloupe et en Martinique, dans le cadre de la campagne électorale des présidentielles. Marine Le Pen serait raciste. Qui dit cela? Luc Reinette, et les séparatistes Guadeloupéens et Martiniquais. Que les écoliers qui chercheraient le sens du mot « cynisme » sachent qu'il s'applique à la perfection à ces gestapistes tropicaux.
Leur leader actuel est Luc Reinette. Qui est Luc Reinette ? Un bon à rien qui aurait entendu jadis une fée Carabosse lui prédire un grand destin et qui y a cru.
La protestation du Front National Guadeloupe dit l'essentiel du palmarès de ce « Gaélik » : ( http://www.lescrutateur.com/2017/01/communique-de-la-federation-locale-guadeloupe-du-front-national-contre-de-scandaleuses-declarations-de-m.luc-reinette-sur-guadeloupe?utm_source=flux&utm_medium=flux-rss&utm_campaign=politics ).
Le Scrutateur, gardien vigilant de la liberté d'expression, et du respect du droit, notamment en matière de liberté d'expression, et de libre circulation des personnes, proteste avec d('auatnt plus de force, qu'il le fait li-bre-ment, sans être affilié à aucun parti, et évidemment au Front National.
Mais le Scrutateur n'est qu'un organe d'information et de réflexion, indépendant, mais sans pouvoir autre que celui de persuader.
Or il est certain que face à des Goebbels, ou des Che Guevara, la force des idées est impuissantes.
En France, il y a des gouverants, des élus, qui disposent du pouvoir de faire respecter la loi.
J'appelle, outre M. le Préfet, ( qui il est vrai dépend du ministère de l'intérieur ) et nos élus locaux, Président de région, Président du Conseil départemental, à réagir, d'abord en désavouant ,les militants de l'intégrisme raciste new look de L. Reinette, et d'autre part en prenant les mesures nécessaires au libre exercice de son droit à circuler, et à s'exprimer, EN FRANCE, (- et ailleurs ).
Faute de quoi on pourrait se demander à quoi servent ces élus.
Le Scrutateur.
( Lecteurs faites circuler cet article. A quoi sert qu'on l'écrive s'il n'est pas lu par le plus grand nombre possible de gens. Donc PARTAGEZ, PARTAGEZ!
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Comment Jean-François Rozan, ex ami de Luc Reinette, nous renseigne sur cette personnalité pathologique :
Sur Jean-François Rozan, lire : http://www.lescrutateur.com/2015/03/figure-le-deces-de-jean-francois-rozan.html
Je complète l'article ci-dessus ( celui du jour ) par ces quelques extraits des Mémoires de Jean-François Rozan, avec qui je polémiquai de « belle façon » ( la polémique est aussi un art )au temps où abusé par le leader séparatiste, il voulu cheminer un temps avec lui, avant d'en être dégouté.
Où l'on apprendra beaucoup de choses, et comment votre serviteur fut un temps condamné à mort par notre Goebells tropical, et sauvé, dit-il par Jean-François. Ces textes sont extraits des Mémoires d'avant la nuit de J-F Rozan.
Voir aussi des textes dans notre dossier d'images.
- Quelques années après, J-F Rozan, par goût des situations difficiles, par intérêt aussi, se trouva mêlé aux évènements graves qui secouèrent la Guadeloupe, et l'affrontèrent à un terrorisme, que les guadeloupéens de ces années là n'ont point oublié.
Je ne m'appesantirai pas sur le rôle, alors, de J-F R, parce que l'heure de « l'histoire » n'est pas encore venue, ( dégagée des passions partisanes ) et aussi parce que je n'ai pas l'intention de mener une polémique post-mortem avec quelqu'un qui ne peut plus se défendre.
Toujours est-il que le propriétaire de l'Hôtel du Hamak, fut en relation étroite avec les indépendantistes des années 80, et les terroristes.
Sa version, est qu'il réussit à les « modérer », à éviter le pire, y compris l'assassinat de quelqu'un qui n'était pas encore connu sous le nom du Scrutateur. , alors que je jouais, dans la même pièce, un rôle différent du sien ( tel qu'il le proclame ) : « S'étant habitué à l'accès facile de ma maison dans la campagne, Reinette venait parfois. Il frappait à la fenêtre de ma chambre à trois heures du matin, ayant sans doute besoin de sortir de son isolement. Je lui servais un café ; nous bavardions longuement ; il me disait ses convictions ; il évoquait à ma demande tous les épisodes secrets de l'histoire clandestine de la Guadeloupe. Une nuit, il me remit un paquet joliment ficelé. J'y trouvai une grande plaque argentée, gravée au recto de la tête d'un esclave enchaîné et au verso les mots : « LONÉ & RESPÉ POU'w FWANSÉ DJOK » signé « LÉMARON », c'est-à-dire Honneur et respect pour toi Français debout, signé Les Marrons. J'avoue être fier de cette plaque que nul autre ne détiendra jamais. Elle témoigne en tout cas du fait que, sexagénaire, j'étais resté fidèle à ma jeunesse .
Chaque jour, les menaces, les injures me parvenaient : lettres signées d'un cercueil, tracts infamants, appels téléphoniques m'annonçant ma prochaine exécution. Leurs sources, curieusement, provenaient autant de l'oligarchie blanche que de certains milieux noirs refusant l'ingérence d'un Blanc dans les affaires nationalistes. Ceux-là allaient jusqu'à me rappeler qu'en Algérie les Blancs qui avaient soutenu la cause du FLN avaient eux-mêmes fini par être égorgés. Ignorant la haine, j'étais décontenancé par cette violence.
Le pire se profilait. Ne voyant aucun résultat aux quinze mois d'arrêt des attentats qu'il avait consentis, l'ARC s'apprêtait à les reprendre. Je pus convaincre Reinette de renoncer au projet d'assassinat du plus virulent des faucons qui continuait à me vouer aux pires sévices, mais la pose d'une nouvelle bombe devint inévitable. L'arrivée de la Route du Rhum en fournit l'occasion lorsque son PC à l'hôtel Marissol explosa. Ce n'était qu'une bombette symbolique ne faisant que peu de dégâts matériels. L'attentat fut revendiqué par l'ARC qui le justifia par le non-respect des engagements pris par le gouvernement. La paix civile était bel et bien enterrée. ».
Confirmation de tout cela me fut donnée, oralement par J-F Rozan lui-même quelques années plus tard dans le circonstances suivantes : C'était à RFO en 2006, à l'occasion d'une table ronde sur le soixantième anniversaire de la départementalisation. Arrivés tous les deux à l'heure ( donc en avance dans notre pays de Guadeloupe ) nous eûmes le temps « d'échanger » comme on dit.
Je le revois, mi figue, mi raisin, de sa voix grave, plutôt rauque, me disant : « vous ne devriez pas me poursuivre de votre ire. Car c'est moi qui ait convaincu Reinette, de vous rayer de la liste de ceux qui devaient être assassinés en 1986, où vous figuriez en tête ». (- Voir ci-dessus et photo ).
Sur le même ton, je l'en remerciai ». Les vrais polémistes, même de bords opposés, ont parfois de ces pudeurs!
J'aime à croire que J-F R, là où il est a trouvé la paix. Que des casinos y rallient des « joueurs » de bords jadis opposés, qui aux résultats ne versent plus, parfois, de larmes de sang, parce tout, là-bas est gratuit, absous, excusé, pardonné. ( PSC ).