Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le Scrutateur.

Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.

Donald TRUMP, une immense DECEPTION pour ses ENNEMIS.

1 ) Donald et Barrack, retour aux coutumes politiques des USA. 2 ) «Michelle a eu la chance d'accueillir la future Première dame et nous avons aussi eu une excellente conversation avec elle», a commenté Barack Obama devant Donald Trump. ( Immense déception pour la camarilla ).
1 ) Donald et Barrack, retour aux coutumes politiques des USA. 2 ) «Michelle a eu la chance d'accueillir la future Première dame et nous avons aussi eu une excellente conversation avec elle», a commenté Barack Obama devant Donald Trump. ( Immense déception pour la camarilla ).

1 ) Donald et Barrack, retour aux coutumes politiques des USA. 2 ) «Michelle a eu la chance d'accueillir la future Première dame et nous avons aussi eu une excellente conversation avec elle», a commenté Barack Obama devant Donald Trump. ( Immense déception pour la camarilla ).

A New York, Washington, Paris, Pointe-à-Pitre, bref dans toutes les grandes capitales c'est la consternation : « le monde est malade, la planète se meurt » : Donald Trump est élu.

Tous les humanistes, les clairvoyants, les plus lumineux aux conciliabules, les gradés du commentaire en sont défaits, pris à revers, driblés, réduits à leur néant par, par … non point celui qu'ils avaient désignés comme un pitre, et un crétin de basse extrace, mais par le roi.

Le roi puisque, en démocratie, c'est le peuple qui désigne les présidents, et qu'aux USA c'est le peuple qui vient de désigner Donald comme son homme lige, et de répudier tante Hillary, ses « emails », ses pompes et ses oeuvres.

Nos gradés du commentaire, tous démocrates, devraient se plier à la volonté de leur Seigneur. Eh bien non, ils persévèrent dans leurs caprices d'hier. Ils organisent des groupes subversifs, transraciaux, pour jouer à « nuit debout » version Hollywood.

En 2008, je me souviens de commentaires analogues émanant des mêmes lucioles du conciliabule, tel celui-ci « Obama va désencailler l'Amérique, si d'ici quatre ans « ils » ne l'ont pas liquidé ». Rappelons que Barrack venait de réussir une élection triomphale, et qu'ils ( qui ? Les blancs ? Allez savoir avec les antiracistes de profession ! ) constituèrent les deux tiers de son électorat.

Ce matin j'écoutais gémir un pleunicheur du Temple, l'entendait désigner le milliardaire comme un élu du Ku Klux Klan. Rien que cela!

Niais du terroir, ou bonimenteur insolent?

Or huit années se sont passées, Obama bien ou mal, un peu des deux, ( sauf pour les esprits partisans ), a accompli sa tache, et au terme de la Constitution, il ne pouvait être réélu.

Le voici remplacé par Trump. Pour les bonimenteurs Trump est le raciste, le vulgaire, qui plaisante sur les femmes de façon graveleuse, ( ce qu'on ne verrait jamais en France, ni en Gwada, car an tout bitin nou pli bon ) qui fera la guerre nucléaire, qui n'a aucune connaissance des affaires, etc.

Ici, je crois nécessaire de rappeler qu'à aucun moment de la période électorale, je n'ai pris partie entre les candidats.

Tout le monde savait les limites d'Hillary Clinton, ses imprudences graves de l'époque où ministre d'Obama elle dirigeait les affaires étrangères, etc. Je n'avais aucune sympathie pour elle.

Trump me parut d'abord comme un farfelu. Trop grossier pour me plaire. Trop « excessif » dans ses projets, irréalisables … s'il les envisageait comme réalisables. Mais j'ai très tôt douté qu'il les prit à la lettre, et pour autre chose que des moyens de gagner à son panache blond les milieux populaires négligés et méprisés par l'establishment.

Trump aurait-il alors fait montre de démagogie?

Et alors? Mes bons apôtres, y a-t-il un seul pays dans l'histoire du monde ( hormis la Guadeloupe, évidemment. « An tout bitins nou pli fo » ) qui ait échappé au pouvoir de la démagogie?

Sur la question de la compétence, j'ai pensé dès le début que ce qui fait la compétence d'un chef d'Etat, c'est la force de la personnalité, la capacité de décider et d'être obéi pour la réalisation de sa vision de l'avenir souhaitable. Sur ce point je me suis efforcé de scruter aussi attentivement que possible ce candidat, car la compétence et la vision sont les critères décisifs du choix d'un candidat au pouvoir suprême.

Quant au reste, tout repose sur l'administration. Celle-ci n'a pas de « vision », pas de volonté. Mais elle doit être compétente en son domaine, pour la mise en ordre, et l'exécution des volontés exprimées par les décideurs.

Comme disait jadis le maréchal Lyautey, le créateur du Maroc moderne, « Je n'ai pas à savoir le nombre d'obus que contient tel caisson de munitions. C'est la tache de l'adjudant. Moi, je suis le technicien des idées générales ».

Trump, qui au demeurant n'est pas totalement un ignorant ( il a fondé une fortune considérable, ce dont seraient incapables la plupart de ses détracteurs ), une fois investi du pouvoir légitime aura sous son impulsion cette administration américaine qui est l'une des forces de cette grande puissance, ainsi d'ailleurs qu'en France où l'administration fait tenir debout ( à défaut de pouvoir lui insuffler la vie, et le vouloir vivre qui vient, de l'Etat ) un pays sans chef depuis juin 2012.

Dernière raison de crever de rage pour les ennemis de TRUMP, c'est l'attitude présidentielle de celui-ci depuis l'élection, non point celle d'un gangster issu d'un film de série Z, celle au contraire qu'on était en droit d'attendre d'un candidat à la présidence des Etats-Unis.

A peine élu, M. Trump parle de façon consensuelle. Il reçoit et accepte les témoignages de civilité des Obama, des Clinton, et de tous ceux, même dans le camp républicain, qui l'avaient combattu avec quelle haine, et quel … mépris apparent ( avant l'élection ). Ainsi vont les choses de ce monde. « Vanité des vanités, dit Qohélet, et tout est vanité ».

Ceux qui ont intérêt à rabaisser Trump, en France, tenants de la déplorable politique de l'inconsistant Hollande et de la gauche, persévéreront dans leur délire paranoïaque. Il faut le savoir et en tirer les conséquences dans nos choix à venir.

Cela dit je ne préjuge pas de l'avenir de la politique de Trump. Peut-être échouera-t-il . Peut-être fera-t-il trop de concessions à ses adversaires d'hier, et décevra-t-il le peuple qui l'a porté au pouvoir.

Ce qui est certain c'est que la catastrophe annoncée ne s'est pas produite, que la déception des Clintoniens est énorme et fait plaisir à voir.

Ne serait-ce qu'un début?

 

Le Scrutateur.

 

Ci-dessous le commentaire de Brice Couturier. C'est la sien, pas celui du Scrutateur. Mais il est intéressant ( LS ).

 

Brice Couturier : «Donald Trump a mis une claque au Parti des médias»

 

FIGAROVOX/GRAND ENTRETIEN - Dans un entretien fleuve, Brice Couturier, revient sur l'élection de Donald Trump. Pour lui, la majorité des gens a de plus en plus tendance à voter contre ce que leur recommande «le prêchi-prêcha médiatique».


Brice Couturier est un journaliste, producteur de radio et écrivain français.


PROPOS RECUEILLIS PAR ALEXANDRE DEVECCHIO @AlexDevecchio

 


La victoire de Donald Trump a surpris l'écrasante majorité des «experts» et des médias ainsi que la classe dirigeante. Comment expliquez-vous une telle cécité?

Quelle claque! Plus de 200 journaux américains avaient soutenu Hillary Clinton. Tous ceux qui comptent, des plus élitistes, comme le New York Times, le Washington Post ou le Wall Street Journal, jusqu'aux plus populaires, tels que USA Today, théoriquement non-partisan, voire même le Daily News. En face, 6 seulement soutenaient le candidat qui allait, finalement, l'emporter. Des titres de très peu d'importance, d'ailleurs. Ce que cela prouve? Que le monde des médias américains, pourtant soumis, bien davantage que chez nous, à la loi du marché et aux suffrages de l'opinion, est déconnecté des aspirations de la majorité de la population. Entre les élites supposées et les classes moyennes et populaires, ce n'est plus un fossé, c'est un abîme qui s'est creusé. Pourquoi? Parce que, d'une manière générale, dans nos démocraties, le monde que décrit la sphère politico-médiatique n'est pas celui dans lequel ont l'impression de vivre la majorité des gens. Alors, forcément, ça les énerve. Et ils ont de plus en plus tendance à voter contre ce que leur recommande le prêchi-prêcha médiatique.

Vous êtes de ceux que cela réjouit?

On aurait envie de battre des mains devant cette déconvenue méritée… si le résultat n'était pas l'arrivée à la tête de la plus puissante démocratie libérale du monde d'un personnage aussi manifestement inapte à la fonction présidentielle. Alors, on peut féliciter le New York Times d'avoir publié une tribune dans laquelle ce grand quotidien reconnaissait s'être planté, avoir méconnu la réalité sociale du pays, être passé à côté d'un évènement de portée historique. On attend encore le même genre de confession de la part des médias français. Pensez que certains en sont encore à mettre en cause le «plafond de verre» qui empêcherait une femme de devenir présidente des Etats-Unis! Comme si un pays qui a été capable d'élire à deux reprises un président noir - alors que ceux-ci ne représentent que 12 % de la population -, ne pourrait pas élire une femme - alors qu'elles sont plus nombreuses à voter que les hommes.

Que n'a-t-on pas entendu sur ces « petits blancs », forcément racistes ; sur ces ploucs non diplômés de l'Université ...

Dans les colonnes de FigaroVox, vous déclariez «le parti des médias et l'intelligentsia méprisent la réalité.». Ont-ils méprisé Donald Trump et ses électeurs?

Ah oui! Que n'a-t-on pas entendu sur ces «petits blancs», forcément racistes ; sur ces ploucs non diplômés de l'Université, et incapables, de ce fait, de s'élever à l'altitude proprement himalayesque où évoluent les grands esprits qui peuplent les départements des «post-colonial studies»! Y compris, chez nous, en France, où l'antiaméricanisme des élites s'alimente, depuis toujours, à un mépris culturel du «red-neck», amateur de country-music, du crétin des Appalaches, plus ou moins dégénéré. Hillary Clinton a commis une fameuse gaffe, en déclarant que les électeurs de Trump étaient deplorable (lamentables, pitoyables). C'est cette arrogance qui a été ressentie comme insupportable. Même chose, ici, en France. L'élite ignore tout du pays profond. Comment le connaîtrait-elle? Pensez que les médias nous ont présenté les Nuits Debout comme l'amorce d'un mouvement social de fond qui s'apprêtait à révolutionner le pays! Tandis que les spécialistes en sciences sociales nous vantent «l'intersectionnalité des luttes», ou le «féminisme islamiste»! On est bien avancés. Ceux qui essaient de comprendre ce qui se passe, comme Christophe Guilluy, se font traiter de suppôts du Front national! Laurent Davezies, Eric Dupin, ou encore Jean-Pierre Le Goff, pour ne prendre que ces trois-là, ne sont pas lus par les politiques. Ils auraient pourtant beaucoup à y apprendre.

Est-ce la fin du «politiquement correct» inventé au Etats-Unis?

Ah! Ce serait trop beau! Mais une chose est sûre: Hillary Clinton s'est pris les pieds dans le tapis de l'appel au vote «genré» et «racialisé». Durant toute sa campagne, elle en a appelé au vote des femmes, comme s'il lui était acquis par droit naturel. Seulement 54 % des électrices l'ont finalement choisie. Malgré tous les témoignages accablants sur le sexisme de Trump. Elle a aussi semblé considérer que vote des Noirs et des Hispaniques lui revenait d'office. Elle a pratiqué, comme jamais auparavant dans une présidentielle, la «politique des identités» à laquelle s'est converti le Parti démocrate. Mais, d'une part, ces électeurs n'ont pas apprécié d'être considérés comme acquis: 29 % des Latinos ont voté Trump, soit deux points de plus que pour Mitt Romney en 2012. Et d'autre part, Clinton a provoqué, par contre-coup, un réflexe de «victimisation» au sein de la classe ouvrière blanche. Car le grand paradoxe des politiques identitaires, c'est de flatter toutes les minorités sauf une. On répète aux petits blancs qu'ils sont en train de perdre la majorité et qu'en plus, ils sont des ratés, sans recours possible à l'affirmative action. Comment s'étonner qu'ils se constituent en minorité agissante, comme les autres? Avec discipline de vote et lobbying à la clé. Obama avait essayé d'engager les États-Unis dans la voie d'une politique post-raciale. Clinton a dilapidé cet héritage. Ça laissera des traces.

En France, nous n'avons pas ce profil… Ou alors Cyril Hanouna, bien davantage qu'Eric Zemmour, auquel certains ont songé.

Dans une chronique de France culture, vous mettiez en lumière la fracture politique et sociale des Etats-Unis…

C'est comme s'ils étaient au bord d'une nouvelle Guerre de Sécession! Et cette campagne électorale n'aura rien arrangé. Le fossé entre démocrates et républicains s'est creusé. Fini, le temps où l'électorat des deux partis se recoupait, au centre. Ensuite, il y a la fracture sociale entre l'Amérique des diplômés et celle des laissés-pour-compte. Entre les gagnants et les perdants de la mondialisation. La tradition consistait, pour le parti vaincu aux présidentielles, à participer à l'élaboration des politiques en négociant à partir de ses positions au Congrès. Sous Obama, le système a été bloqué. «Congressional gridlock». Blocage par le Congrès. La plupart des grands projets d'Obama ont été ainsi enrayés ; que ce soit la Banque d'investissement dans les infrastructures ou l'idée d'un impôt négatif pour les travailleurs pauvres. Cette fois, les Républicains tiennent la présidence, la Chambre des Représentants, le Sénat et 33 sièges de gouverneurs sur 50. Sans compter, la majorité conservatrice de la Cour Suprême. On peut redouter que cela crée une frustration terrible chez les démocrates et leurs partisans.

La France n'est-elle pas tout aussi fracturée? Un phénomène Trump est-il possible en France?

Je ne sais pas. D'abord, Trump n'a pas d'équivalent en France. Un pro de la télé qui séduit l'électorat parce qu'il se vante de n'être pas un politique. Un provocateur, qui se sert de son inexpérience, voire de son incompétence, pour se faire élire par un électorat qui a pris la classe politique en haine, nous n'avons pas ce profil… Ou alors Cyril Hanouna, bien davantage qu'Eric Zemmour, auquel certains ont songé. Marine Le Pen s'y voit déjà. Mais paradoxalement, son entreprise de dédiabolisation du Front national la dessert dans ce registre. Elle cherche à apparaître comme une politicienne comme les autres. Son père, lui, savait mettre les rieurs de son côté en faisant le singe. La voie choisie par Trump a été précisément de ne pas jouer le jeu politique traditionnel, d'en transgresser toutes les règles, de s'en moquer ouvertement, en prenant les spectateurs à témoin, de manière à les rendre complices. C'est un truc de one-man show. Ca demande du métier!

Une partie des intellectuels de gauche est bien embêtée : Trump est un altermondialiste doublé d'un keynésien ! Il entend renégocier tous les traités de libre-échange ...

Trump est isolationniste en matière de politique étrangère et protectionniste en matière économique. Sa victoire est-elle le résultat du double échec du «néoconservatisme» et du «néolibéralisme»?

Ah oui, voir en Donald Trump l'incarnation du néo-libéralisme, comme l'a fait, par exemple, François Cusset dans Libération, c'est du dernier comique. Une partie des intellectuels de gauche est bien embêtée: Trump est un altermondialiste doublé d'un keynésien! Il entend renégocier tous les traités de libre-échange déjà signés comme l'ALENA et refuser tous ceux qui ne le sont pas encore, comme le TTIP. Il est violemment hostile à l'OTAN, qu'il considère comme «dépassé» et laisse entendre que les alliés des Américains n'ont qu'à se débrouiller tout seuls. Son programme de grands travaux de type New Deal, il l'a chiffré à 550 milliards de dollars, ce qui est proprement astronomique. Nos intellectuels de gauche n'aiment pas tout ce qui, dans le programme de Trump, le rapproche de la gauche la plus traditionnelle.

Vous avez soutenu ce double mouvement. Pourquoi cela ne fonctionne-t-il plus?

C'est vrai. Je continue à penser que notre monde est bien plus dangereux depuis que le shérif américain est devenu réticent - avec Obama. Voyez la Syrie. Et je crains qu'il ne devienne encore plus dangereux avec, à la Maison Blanche, un isolationniste qui considère que la planète peut bien sombrer dans le chaos, pourvu que les Etats-Unis soient protégés par deux océans et une grande muraille. Quant à la mondialisation, si elle est désormais refusée par des majorités, c'est parce qu'on lui fait porter le chapeau de deux autres phénomènes: les révolutions combinées du numérique et de la robotique - qui vont remplacer les emplois salariés par l'uberisation du travail, et l'immigration de masse, qui menace les modes de vie locaux et les unités nationales. Les peuples réclament des frontières derrière lesquelles ils pensent trouver les protections auxquelles ils étaient habitués. Je ne crois pas que cela puisse fonctionner comme dans les années 50… En outre, la démondialisation qui se profile, en effet, va plomber la croissance. Vous verrez.

L'élection de Trump après la victoire du Brexit marque-t-elle le début d'une nouvelle ère qui serait celle de «la fin de la fin de l'Histoire» et du retour des nations?

-Oui, peut-être. Mais j'y vois plutôt la poursuite d'un processus de prise du pouvoir par des populistes. Il y a eu les phénomènes Poutine, Erdogan, Orban, Xi Linping, et maintenant Trump: un nouveau type de dirigeants nationalistes et autoritaires, qui considèrent le reste du monde comme globalement hostile. Et au milieu de cette mêlée, notre pauvre petite Union européenne, incapable de décider quoi que ce soit, sans parler de se défendre. Ca nous promet des lendemains qui déchantent…


 

http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2016/11/11/31001-20161111ARTFIG00209-brice-couturier-donald-trump-a-mis-une-claque-au-parti-des-medias.php

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
D
https://www.youtube.com/watch?v=zT0Rjc6jKCg<br /> <br /> Vidéo en anglais : On se moquait de Trump...il n'était qu'un clown...Hillary allait l'emporter, c'était tellement évident.
Répondre
D
Question, Trump serait il un envoyé de Dieu, un grain de sable chargé de bloquer la machine infernale du N.O.M., celle qui vise à la destruction des nations et à la mise en esclavage des chrétiens, à leur destruction ? Plus d'une personne se pose maintenant la question vu la surprise. Enfin, surprise! Surprise pour les méchants, pas pour les autres qui subodoraient quelque chose de puissant. Le Temple ne triomphait il pas par avance et d'une façon arrogante de la victoire évidente d'Hillary ? Qui entoure la ploutocrate corrompue Hillary Clinton, sinon des ennemis de Dieu ? Des pédophiles, des sorciers, des voleurs, des exploiteurs cyniques de la misère humaine, des criminels, et, en la personne de Oumma Abedin, sa seconde fille comme elle disait, les frères musulmans et l'Arabie Saoudite. Et qui se désole de la victoire du Donald ? Toute la racaille possible qui va depuis Soros jusqu'à Apathie en passant par cet imbécile de BHL. Les ploutocrates écument de rage, les petits "sans dents" espèrent enfin, Hillary & Huma Abedin chignent de dépit, Hollande a encore plus l'air d'un con et moi je me marre.
Répondre
Y
la preuve par Trump que tout allait mal au USA avant lui.<br /> Autrement la bande à Hilary aurait été réélue.
Répondre