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Le Scrutateur.

Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.

Poutine et le Poussah .

Un "poussah" nous dit le Littré, "est un gros homme, petit et ventru".

Un "poussah" nous dit le Littré, "est un gros homme, petit et ventru".

Nous pourrions rire à gorge déployée, si nous n'étions pas Français. Mais voici : Hollande est le président de la république. Ce n'est pas comme si nous étions des étrangers. Alors nous nous gondolerions, secoués de spasmes irrépressibles, nous tenant les côtes, en larmes.

Oui, mais voilà nous sommes Français, c'est de nous qu'ils rient ces « maudits étrangers », et nos larmes ont l'amertume du sang.

La France aurait pu jouer un rôle d'intermédiaire au moyen-orient, elle en a encore les moyens. Au lieu de cela le poussah élyséen en a fait un vassal des USA, tout comme l'Allemagne. Mais l'Allemagne a perdu la guerre. Elle a par les vertus de son peuple reconquis son rôle de puissance économique et financière. Mais elle est un nain politique.

La France, elle, grâce au génie de de Gaulle avait remonté la pente de la décadence. Elle est membre du Conseil de sécurité des nations unies.

Elle a joué, naguère encore, un rôle important au moyen orient, en Syrie, justement, au Liban.

Dressé sur ses courtes jambes, la bedaine en avant, le poussah de l'Elysée, a choisi de tenir le rôle du petit télégraphiste de Washington, d'Obama aujourd'hui. Mais il serait aussi bien le valet de comédie d'une Clinton ou d'un Trump.

Il joue au matamore le Gros-land.

Marie Delarue le réduit à ce qu'il est, une outre pleine de vent.

Ah! il est temps qu'il s'en aille.

Qu'il parte en pets !

 

Le Scrutateur.

 

François Hollande et Vladimir Poutine : histoire d’un camouflet

( http://www.bvoltaire.fr/mariedelarue/francois-hollande-et-vladimir-poutine-histoire-dun-camouflet,288237 )

 

Balourd, le Président normal écrase les pieds, se fait marcher dessus et, pour finir, s’étale quand il croit conduire le bal.


 

Marie Delarue

Ecrivain, musicienne, plasticienne

 

 

François Hollande et la valse-hésitation : un pas en avant, deux pas en arrière. Balourd, le Président normal écrase les pieds, se fait marcher dessus et, pour finir, s’étale au milieu du parterre quand il croit conduire le bal.

Sur son carnet, Vladimir Poutine…

Et Berlin qui bat la mesure
Berlin qui mesure notre émoi
Et Washington aussi qui bat la mesure
Lui murmurent, murmurent tout bas…
Une valse à trois temps
Qui s’offre encore le temps
Qui s’offre encore le temps
De s’offrir des détours
Du côté de l’amour
Comme c’est charmant… »

Comme c’est grotesque, surtout. Minable, cette oscillation du culbuto qui attend perpétuellement que les autres décident pour lui. De fait, Vladimir Poutine qui devait venir inaugurer, le 19 octobre, la nouvelle église russe et le centre religieux qui s’élèvent maintenant avenue Rap (à l’ancien emplacement de Météo France) lui retire l’épine du pied : il vient d’annoncer le report de sa visite.

C’est que François Hollande, père la vertu qui confond la cuisine du PS et la diplomatie internationale, n’était toujours pas décidé sur l’emploi du temps : recevoir Poutine ou non ? Il s’en était d’ailleurs ouvert aux Français lundi soir sur TMC : « Je me pose encore la question : est-ce que c’est utile ? Est-ce que c’est nécessaire ? » C’est que le Président tout imprégné de « normalitude » est un homme simple. Il veut faire la leçon à Vladimir, lui dire qu’Alep, c’est pas bien du tout. Car il le sait, lui, qui sont les bons et qui sont les méchants dans la lointaine Syrie. C’est simple. D’ailleurs, à lui tout seul, François Hollande, avec ses petits bras musclés, il va tirer Poutine par les oreilles devant le Tribunal pénal pour crimes de guerre. C’est comme on vous le dit. Non mais.

Ces grotesques rodomontades du Président français faisaient, ce mardi matin, l’objet de la chronique d’Éric Zemmour sur RTL. Pointant le grotesque de la situation, il demandait : « Imagine-t-on le général de Gaulle s’interroger à haute voix devant un parterre de journalistes : vais-je sortir la France de l’OTAN ? Vais-je abandonner l’Algérie ? Vais-je dévaluer le franc ? » Alors, « Poutine or not Poutine ? Le recevoir ou ne pas le recevoir ? Le recevoir mais pour le gronder comme un garnement. Au moins, il fera rire le président russe », conclut-il.

Zemmour et Poutine… Poutine et Zemmour. Dans le traitement réservé à ces deux personnages il y a plus de ressemblances qu’il n’y paraît, car au-delà du contenu de la chronique de ce jour, il faut signaler le moment ahurissant qui l’a précédée.

C’est le préambule d’Yves Calvi, personnage de plus en plus frileux malgré ses capitons. Voici donc ce qu’il a dit avant de laisser le micro au polémiste : « Avant d’écouter votre éditorial, je précise que ce rendez-vous porte aujourd’hui particulièrement bien son nom [« On n’est pas forcément d’accord », NDLR]. Vous avez tenu, récemment, des propos controversés sur les djihadistes qui commettent des attentats. Je me fais le porte-parole de la direction et de la rédaction de RTL qui ont été consternés par ces déclarations extrêmement choquantes à plus d’un titre, en particulier à l’égard des familles des victimes. Nous n’y reviendrons pas. Vous avez eu l’occasion de vous en expliquer samedi à la télévision, mais je me devais de le dire à nos auditeurs, particulièrement en ce jour anniversaire des 50 ans de RTL. Retour, donc, à votre thème du jour. Etc. »

Que vient faire là-dedans l’anniversaire de RTL ? Mystère. Qu’importe. Voilà donc Zemmour sommé, comme un gamin de maternelle, d’écouter l’admonestation sans protester, sans répliquer puisqu’il s’est déjà « expliqué à la télévision » ! Bienheureux, sans doute, que la station ne l’ait pas déjà viré à coups de pied au derrière ou cloué au pilori sur le trottoir de la rue Bayard.

Quant à Hollande, il aura achevé de se ridiculiser : alors que l’Élysée annonçait, ce matin, un « report de la visite de Vladimir Poutine », le Kremlin précise qu’il s’agit d’une « annulation ». Mieux : le président russe précise qu’il rencontrera François Hollande « quand le Président français se sentira prêt ».


 

 

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D
Ce triste sire ferait bien de ne pas jouer au plus malin avec les russes, d'autres avant lui qui étaient moins couillons que cette lamentable nouille socialiste, s'y sont essayé et ont tous été ratiboisés.
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