Elie Domota « antiraciste » professionnel, fustigé par Le Libertarien.

s'il était logique avec lui-même, ce triste sire démissionnerait de Pôle Emploi qui le rémunère grassement, ce salaire étant versé par l' Etat français sur lequel il crache à longueur de temps

Quand sos racisme va s'écrire avec un "S" a racisme il sera crédible. c'est seulement quand vous êtes fonçé qu'il vous défend mais si vous êtes "blanc" et attaqués par des non-blancs qui vous appelle "face de craie" ,silence radio de sos racisme.

Mais vrai pour ceux des anti-"fwansè qui émargent en fin de mois bien sûr.

C'est faux. SOS Racisme a eu des affiches avec des gens de toutes origines, y compris des visages "asiatiques".

Qu'Élie Domota, comme Ghilaine Joachim-Arnaud quelques jours auparavant pour les Martiniquais, ait donné une image épouvantable (au sens étymologique du terme : qui fait peur) des Guadeloupéens dont il a pu faire croire en 2009 qu'il les "incarnait", cela ne fait aucun doute. Mais tout le monde a oublié qu'il est le copain de Taubira (l'icône de la gauche "morale", ou plutôt de la gauche qui déconne), de Ségolène Royal (qui, en 2009, est venue en personne lui apporter son soutien tout aussi "moral") et de l'incomparable Jégo qui n'a jamais caché son admiration pour ce dangereux personnage, son mépris pour les patriotes (Français) des Antilles et surtout sa haine envers les blancs créoles. Dis-moi quels sont tes copains, je te dirai ce que tu es...

Quand je vois le symbole de sos racisme je me pose une question : Comment cette éminente association a imaginé une main jaune indiquant "touche pas à mon pote" et a bien du mal à défendre les asiatiques,minorité visible par définition et supposée riche, qui se font attaquer tous les jours ? Au fait par qui déjà ? L'antiracisme a ses couleurs que la raison ignore.<br /> Ces sos racisme,mrap et autre ldh se targuent d'être suivi par une majorité de citoyens : Il est moyen bien simple de le contrôler , suprimer toute subvention publique et compter les généreux adhérents...<br /> Quand a domota et ses amis : Qui taguait les murs de "fwansè dewo" ? Beaucoup en tout cas émargeaient et émargent encore au service public d'un état si détesté. Comme quoi on a bien le droit d'être "fwansè" le dernier jour du mois et anti-"fwansè"le reste du temps, pathologie relevant d'une thèse en psychologie sur laquelle se penchera certainement,un jour,un jeune étudiant guadeloupéen...