Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.
31 Août 2016
La préparation de l'élection présidentielle s'accélère. Pour l'instant nous en sommes à celle des « primaires » ( assez bien nommées ) de la « droite » et de la « gauche ».
Le moment de choisir n'est pas encore venu, et les choses se déroulent de telle façon que beaucoup se demandent si, en définitive, ils choisiront.
Je suis de ceux qui choisiront. Mais pour l'instant, fatigué des oppositions souvent factices, et vieilles resucées, styles troisième et quatrièmes républiques, je porte, je l'ai souvent dit, davantage d'attention aux idées des « petits » candidats ( ceux qui n'ont pas l'argent, et le soutien des puissances financières internationales, qui se soucient du bien des peuples comme d'une guigne ).
Il est important, au moins au premier tour des élections de ceux qui nous semblent porter nos idées, et de leur fournir le potentiel de voix qui obligeraient, au moins en apparence, les « grands » ( psc ) d'en tenir compte au moment des négociations de désistements, et de les faire connaître pour le moment du grand chambardement qui surviendra INE-VI-TA-BLEMENT, où l'on saura sur qui s'appuyer, car comme disait de Gaulle : « on ne s'appuie que sur ce qui résiste ».
Jean-Frédéric Poisson est un de ces « petits » dont je vous livre la dernière en date de ses déclarations.
Le Scrutateur.
____________________________________________________________________________
Jean-Frédéric Poisson, qui rentre d'un voyage en Serbie, déclare dans un entretien aux Nouvelles de France :
"Je veux avant tout porter un message de cohérence. Tous les autres candidats à cette primaire ont alimenté, activement, la diplomatie, les politiques d’immigration et de complaisance à l’égard de l’islam dont nous payons les conséquences aujourd’hui. J’ajoute que leur conception de l’Europe, qui renonce à faire du continent autre chose qu’un espace de commerce, est clairement contraire aux intérêts européens, y compris donc ceux du peuple français et du peuple serbe. Mon ambition pendant cette élection est de dire aux Français que la croissance économique et la lutte contre les déficits publics ne peuvent pas être l’alpha et l’oméga des programmes de réformes de la France. Ce déplacement en Serbie et en République serbe de Bosnie m’ont conforté dans cette vision : on ne réformera la France qu’en travaillant à reconstituer la solidité de notre peuple, de notre culture et de notre histoire. Et la France ne pourra y réussir vraiment qu’en étant ambitieuse pour elle-même et pour l’ensemble des peuples européens. L’échéance présidentielle française 2017 ne se résume pas à un enjeu de gestion : elle représente un enjeu de civilisation. C’est ce que me rappellent tous les interlocuteurs que je rencontre lors de mes déplacements à l’étranger, qui attendent parfois beaucoup plus de la France que les Français n’en attendent eux-mêmes. On pourrait s’en désespérer. J’en tire au contraire une détermination et une espérance renforcées."