16 Août 2016
Il y a à peine une heure, j'ai écouté l'intervention de Marwan Muhammad, directeur exécutif de l'association Collectif contre l'islamophobie en France. ( Marwan Muhammad : https://fr.wikipedia.org/wiki/Marwan_Muhammad ).
Il était interrogé sur l'affaire dite des burkinis, qui a engendré, en Corse, et dans plusieurs localités de la France métropolitaine des réactions irritées des populations indigènes.
J'ai été surpris du ton insupportablement arrogant, ironique, et sûr de lui de cet individu.
Il évoque le droit des citoyens français musulmans de se produire sur les plages de France, au nom des droits de l'homme.
La journaliste qui a été, à mon sens, honnête et compétente dans son travail d'intervieweuse, était cependant tenue à un devoir de réserve et peut-être de prudence ( bien compréhensible. Le souvenir des attentats est encore tout frais ).
Elle aurait pu, par exemple, faire remarquer à M Muhammad, qu'en France les « droits de l'homme » incluent, sous le mot d'homme, et à égalité, les deux sexes, masculins ET féminins.
Que l'affaire des burkinis n'est qu'un élément d'un ensemble dans la guerre ( même Hollande l'a dit : nous sommes en guerre ), qui nous est livrée.
Celle-ci comporte déjà des éléments traditionnels de ce que l'on appelle généralement la guerre ( les attentats ) mais aussi cet autre conflit, encore plus sérieux : la guerre culturelle. En même temps que la revendication « burkinienne », on assiste, en effet, aux revendications alimentaires, et déjà, dans les cantines scolaires il est question d'aligner l'alimentation des jeunes Français sur les us et coutumes des pays islamiques ( par exemple la suppression de la viande de porc ). Ou encore que la polygamie ne fait partie ni de notre législation, ni de nos traditions. Ou encore qu'un médecin homme doit pouvoir soigner aussi bien des Marwan que des Fatima, des Jules, que des Martine, etc, etc.
Elle aurait pu insister sur le fait que si ces gens, et M. Muhammad, ne peuvent s'adapter aux lois et aux moeurs du pays qui leur fait la grâce de les accueillir, il peuvent se replier sur l'Algérie, l'Egypte, le Qatar, l'Arabie, etc, tous pays où les femmes non musulmanes n'ont pas le droit de se baigner en Bi, ou mono kinis ( pour nous en tenir à ces détails vestimentaires là ).
Marwan Muhammad dans l'interview évoquée ( dont je n'ai pu trouver qu'un trop bref extrait ) s'en est pris avec une arrogance insupportable, et comme en pays conquis, à Jean-Pierre Chevènement, chargé d'une mission sur la cohabitation en France des musulmans, et des indigènes du pays.
Je crois que le moment approche, où, devant les atermoiements, et les palinodies de nos gouvernants, la complicité objective de certains à gauche - l'ineffable mère de Paris - ou de l'extrême gauche - l'abject Edwy Plenne l - les premiers accrocs à la paix civiles vont laisser la place à une guerre civile. Dieu nous en préserve. Mais il ne faut pas tout attendre de Dieu. Peut-être est-il encore temps de ranimer en nous, le minimum de lucidité, de courage, de fierté pour résister au totalitarisme islamique.
Le Scrutateur.
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Deux documents en lien :
I ) Rixe en Corse : l’enquête tente de déterminer les faits
( Journal La croix : Rixe en Corse : l’enquête tente de déterminer les faits : http://www.la-croix.com/France/Immigration/Rixe-en-Corse-l-enquete-tente-de-determiner-les-faits-2016-08-15-1200782374?utm_source=Newsletter&utm_medium=e-mail&utm_content=20160815&utm_campaign=newsletter__crx_alert&utm_term=297800&PMID=c14975335b8bc0537b55cb39d83f3170
II ) Morwan Mustapha Sur LCI ce 16 août :