2 Juin 2016
« L'antiracisme, me disait un lecteur, dans un commentaire récent sur Le Scrutateur, est la centrale des gens les plus racistes de France ». Ils s'efforcent de fouailler les plaies en voie de guérison, pour les transformer en plaies purulentes. Ceci à seule fin de rallier à des fins de pouvoir politique, financier, ou de simple notoriété ( ah! paraître dans un journal télévisé en se présentant comme un redresseur de torts, quelle « juissance » ! ). un moraliste écrivit jadis, et comme il avait raison : « malheur à qui soulève les bas-fonds d'un pays ».
A ces gens là, des misérables qui ne méritent aucune estime, car ce sont des racleurs de grattelles, non des médecins de l'âme, on ne doit dispenser que du mépris. Mais il faut rester vigilants, éviter en leur administrant la correction qu'ils méritent de tomber dans leur piège. Leur but étant de propager le racisme qui est leur fond de commerce, ( et pour quelques-une leur névrose intime ) il faut éviter de donner dans un racisme mimétique. Car enfin, prenons un Cantona. Qu'est-ce qu'un Cantona? Un simple racleur de grattelle, comme les autres. Et c'est....un blanc ! La subversion n'a pas de couleur. Ou plutôt elle est multicolore.Il ne faut pas s'y tromper.
Avis aux manipulés de toutes races, aux niais ( gniiaaaiiiis ) de toutes catégories.
Le Scrutateur.
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Equipe de France. L'ancien joueur de Manchester United a déclenché une polémique nationale en accusant Didier Deschamps de racisme, estimant qu'il n'avait pas sélectionné Hatem Ben Arfa et Karim Benzema à cause de leurs origines maghrébines. Aujourd'hui dans Libération, il réitère ses propos et s'enfonce encore plus dans son antiracisme forcené.
"Je n'affirme rien. Je pose la question". Eric Cantona, autrefois brillant sur les terrains de football, est en train de tenter une reconversion douteuse. Le "King" se prend pour un lanceur d'alerte antiraciste qui protège la France en "barrant la route aux extrêmes". Non content d'avoir déclenché une polémique en accusant Didier Deschamps de racisme (tout en estimant qu'il était "trop français"), Eric Cantona insiste et continue de pourrir le climat qui entoure la préparation de l'Euro par les Bleus. Dans une interview à Libération, il précise sa pensée : "La suspension de Benzema en équipe de France est tombée le 10 décembre, entre les deux tours des élections régionales. Depuis les attentats de Charlie Hebdo et de l'Hyper Cacher, les choses ont changé, l'ambiance a changé, le regard que l'on porte sur la communauté d'origine maghrébine a changé (...) On vit une période où on sanctionne une communauté... ou plutôt une période où on a envie de la sanctionner."
Contraint de reconnaitre que Didier Deschamps a sélectionné pour l'Euro un grand nombre de joueurs non blancs, il déporte l'attaque en pointant du doigt les instances du football français : "Les dirigeants d'origine maghrébine ou d'Afrique noire, ils sont où? Et les entraîneurs de Ligue 1 d'origine maghrébine? Alors que ce sont eux qui forment les gamins! Ils sont assez forts et compétents pour s'occuper des jeunes joueurs, et ils ne le sont plus quand ces mêmes joueurs passent professionnels?" Hier, les propos de Benzema et Cantona, ainsi que ceux du comédien Jamel Debbouze, qui s'est joint au concert des "antiracistes", ont été condamnés par une large partie de la classe politique, de droite comme de gauche. Avant la liste de Didier Deschamps, Manuel Valls lui-même avait estimé que Karim Benzema n'était pas assez irréprochable pour porter le maillot bleu et représenter la France.
Mais ce n’est pas son tempérament. Il ne
( II ) Kingsley Coman : "Le racisme, je ne vois pas où il est, c’est n’importe quoi !