Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le Scrutateur.

Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.

Nuit debout : Violence de casseurs ? Non ! Mais violence de commandos de brutes d'extrême gauche.

Nuit debout : Violence de casseurs ? Non ! Mais violence de commandos de brutes d'extrême gauche.
Nuit debout : Violence de casseurs ? Non ! Mais violence de commandos de brutes d'extrême gauche.

Extrême violence à Paris. De qui émane-t-elle? De casseurs, nous disent un grand nombre de médias, et le gouvernement par la voix du ministre de l'intérieur.

C'est faux! Les soi-disants « casseurs » ne sont pas des voyous de banlieues ou d'ailleurs.

Ils sont quelques centaines de militants d'extrême gauche, coordonnés par la trotskystes, experts en manipulations de toutes sortes. Ces trotskystes qui  ne sont pas pour rien d'ailleurs ( mais à un niveau supérieur de perversité dont Mediapart du trotskyste Edwy Plennel est le chef de file insidieux ) dans les commentaires souvent complices des exactions en cours qui vont jusqu'à des tentatives d'assassinats de policiers, comme nous l'avons vu hier.

Ces militants violents sont le bras armé d'une violence plus verbale, largement relayés là encore par des médias qui font semblent de croire à propos de « nuit debout » à une révolte spontanée de jeunes gens généreux révoltés par les errements ( réels malheureusement ) de la mondialisation en cours.

Cette thèse a ses complices à l'intérieur même d'ailleurs, du gouvernement scandaleusement déliquescent qui est censé gouverner la France, et qui se trouve, de ce fait, gênés dans la répression nécessaire de la violence « révolutionnaire » qui pourrit la vie des citoyens français. Gênés puisque se trouvant en porte-à-faux face à des militants qui mettent en pratique de façon pulvérulente les théories de plusieurs membres ( actuels, ou récemment démissionnaires ) de ce « gouvernement ».

L'article suivant de Valeurs actuelles du 12 mai nous conte par le menu le calvaire d'une police appelé à remettre de l'ordre face à des brutes gauchistes, parfaitement organisées de longue date, sans qu'on lui donne les moyens d'une action efficace, ni les ordres adéquats.

La chienlit actuelle est le symbole parfait de quatre années d'exercice du pouvoir par « MOI président ».

 

Le Scrutateur.

 

_______________________________________________________________

 

Sous les pavés, laviolence d'extrême gauche.

 

« En marge du mouvement Nuit debout, les forces de l'ordre sont la cible des casseurs et des activistes d'extrême gauche. Les blessés se multiplient. La haine "anti-flics" prospère.

ACAB. Pour "Allcopsarebastards". Soit "Tous les flics sont des salauds". L'acronyme haineux qui sert de cri de ralliement à la mouvance anarcho-autonome est tagué couleur rouge sang depuis plusieurs semaines sur les murs des centres-villes, dans le sillage des émeutes qui débordent le mouvement contre le projet de loi El Khomri, par­tout en France. « Les manifestations de jeunes casseurs oisifs et d'étudiants ont laissé place à des guérillas de casseurs professionnels, cagoules, équipés et armés, explique Patrice Ribeiro, secré­taire général du syndicat Synergie Offi­ciers. À Rennes, nos collègues ont ainsi

essuyé des jets de boules de pétanque avec des lames de couteau soudées dessus. Il y a la volonté de mutiler et de tuer ! », s'in­quiète le commandant de police.

Un de ses collègues a été lynché par des voyous en marge d'un défilé, à Nantes, Ie3 mai. «Ils l'ont descendu de sa voiture, jeté à terre, lui ont sauté dessus, arraché son casque et l'ont tabassé à coupsdepiedsetdebarresdefer,raconte Stéphane Léonard, secrétaire départe­mental du syndicat Unité SGP Police FO. Il a été récupéré dans une mare de sang et transporté, inconscient, à l'hôpital. » Cinq jours plus tôt, trois policiers étaient

aussi grièvement blessés, à Paris. L'un d'eux, touché à la tête par un pavé, a frôlé la mort. Il souffre d'une fracture du crâne et d'une hémorragie interne. Toujours dans la capitale, une voi­ture de police a été incendiée et un camion de pompiers caillasse. Les com­missariats des Xe et XIXe arrondisse­ments ont été assiégés par des bandes déchaînées. À Vaulx-en-Velin (Rhône), des manifestants armés de manches de pioche ont blessé quatre policiers. Et à

"Le gros des casseurs est issu de l'ultragauche et des mecs des cités s'y agglutinent."

Marseille, des lycéens ont été arrêtés avec des masques à gaz et des pierres dans leurs sacs à dos. «Legros des cas­seurs est issu de l'ultragauche et des mecs des cités s'y agglutinent», résume un offiier. Parmi eux, les Black Blocs anticapi­talistes, qui comptent des étrangers, indique une source policière.

Couteaux, tournevis, sabres, pavés, extincteurs, bouteilles, bombes agri­coles, lance-amarres, boules de pétanque, harpons, cocktails Molotov, lance-pierres, frondes, ampoules d'acide... telles sont quelques-unes des armes dont sont victimes les forces de l'ordre. Les policiers endurent plaies multiples, traumatismes crâniens et fractures des membres. Une batterie de voiture, lancée sur un CRS, lui a brisé la mâchoire. Depuis le début du mouve­ment, il y a deux mois, plus de 300 poli­ciers ont été blessés (12 608 en 2015). «Il n'y aura jamais de la part de l'État la moindre complaisance, répète, inflexi­ble, le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve. Nous sommes intraitables avec les casseurs, d'une fermeté absolue, les interpellations en témoignent. »

Leur nombre - à peine 400 au total - est pourtant dérisoire en comparai-son des milliers de forcenés. « On regarde les gens tout casser. Les ordres ne viennent pas. On est là, mais on ne peut pas intervenir», a témoigné sur RMC un CRS. «Le ministre soutient ses troupes. Mais gauche et droite sont han­tées par le syndrome Malik Oussekine. Les ordres de retenue de la hiérarchie ne font qu'enhardir ceux qui veulent casser du flic. Or, on va au drame si rien n'est fait, remarque Patrice Ribeiro. Il faut activer les mesures prévues par l'état d'urgence : contrôles et arrestations pré­ventif s, assignations à résidence et poin­tages aux commissariats, comme pour les hooligans. » Les redoutables camions antiémeute avec canon à eau sont, eux, toujours au garage.

« Pourquoi les policiers doivent-ils attendre parfois plus d'une heure pour intervenir?, se demande Jean-Claude Delage, secrétaire général d'Alliance Police nationale. Entre le message ferme du ministre et la réalité du terrain, il y a un décalage qui nous étonne, voire nous révolte. » À Paris, les CRS ont reçu consigne de ne pas utiliser les lanceurs

Les pacifiques Veilleurs catholiques n'avaient pas bénéficié de cette mansuétude du pouvoir socialiste.

de balles en caoutchouc et de limiter l'emploi de grenades de désencercle-ment. Outre la bavure, « on peut imagi­ner qu'on laisse faire pour discréditer le mouvement social», note le major de police. Quid enfin du vote FN à un an de la présidentielle ? « Le gouvernement n'est pas assez déraisonnable pour jouer avec le feu pour des raisons électorales.» En tout cas, les pacifiques Veilleurs catholiques n'avaient pas bénéficié de cette mansuétude du pouvoir socia­liste. « Beaucoup de collègues ont reçu des instructions moins indulgentes à l'époque de la "manif pour tous", recon­naît Jean-Claude Delage. Pourquoi ce deux poids deux mesures ? » D'autant que les opposants au texte de Myriam El Khomri y ajoutent la violence ver­bale. Leurs slogans dans les cortèges ou sur les réseaux sociaux ? "Police, casse-toi, la rue n'est pas à toi", "Un bon flic est un flic mort", "Désarmons la police". Sur Facebook, les partisans du groupe Action antifasciste Paris-ban­lieue rivalisent aussi de menaces et d'in-

sultes : «lapolice'assassine», «onvavous crever», «filsdépute», etc. Ses militants radicaux tiennent un stand place de la République... chez Nuit debout.

Il faut dire que le mouvement gau­chiste légitime la haine de l'autorité. «À basl'État, les flics etlespatrons», diaboli-sent ses membres, qui dénoncent « la violence gratuite des CRS ». « Nous n'ap­portons pas lapaix», a dit leur idéo­logue, l'économiste marxiste Frédéric Lordon. « Cette racialisation a étéle labo­ratoire d'une violence policière qui est maintenant déchaînée [...] ets'étendà l'ensemble de la population », y a encore déliré une activiste. « On a décidé de ne pas se dissocier de ceux que vous appelez les casseurs», a même osé la porte-parole de la coordination nationale étu­diante, pour qui « les pierres n'atteignent pas vraiment les policiers »...

Sourds aux sommations, les mani­festants jusqu'au-boutistes s'expo­sent aux coups de tonfas et tirs de Flashball. «Ils sont conscients des risques, insiste Stéphane Léonard. On nesepromènepassouslesprojectilespar hasard. » Quant aux propos de Jean-Luc Mélenchon et Olivier Besancenot sur des policiers infiltrés et provoca­teurs : « C'est un mythe, un fantasme, une rengaine soixante-huitarde. » Enfin, les affiches outrancières de la CGT sont jugées «scandaleuses, calomnieuses et méprisantes. Ces discours de gauchos jettent de l'huile sur le feu », condamne-t-il. Les syndicats de policiers ont d'ail­leurs appelé à manifester contre "la haine anti-flics", le 18 mai.

« Cet état d'urgence est une plaisante­rie, lâche un CRS. C'est la chienlit. Les col­lègues sont écœurés. » Un officier estplus pessimiste : « Ce sont des terroristes. Ce désordre permanent risque de conduire au chaos. » Épuisés par le plan Vigipi-rate, la crise des migrants et la Cop 21, les policiers redoutent le burn-out. «La fatigue se ressent moralement et physi­quement. Et puis, il y a la stigmatisation médiatique liée aux violences policières, marginales et sanctionnées», concède Patrice Ribeiro. «Pour l'Euro de football, cet été, tous les repos et congés seront sup­primés», ajoute Jean-Claude Delage. Seul réconfort, le leitmotiv de Nuit debout et des casseurs - "Tout le monde déteste la police" - est démenti par le soutien populaire. Près de 80 % des Français apprécient les policiers, selon tous les sondages. »

AmauryBrelet

 

Ajoût de dernière minute :

 

Un policier d'origine martiniquaise sauvagement matraqué par un membre de la camarilla trotskyste devient un héros par sa maîtrise, son sang-froid, son savoir faire. Si l'on en croit les déclarations ( deuxième video du document ) d'un militant de Nuit Debout, débile et crasseux ( pléonasme ) , ce policier de chez nous serait d'extrême droite ! ( psc ) Je crains que même les plus niais des gniais, n'adhèrent pas à cette basse propagande :

 

http://la1ere.francetvinfo.fr/voiture-de-police-incendie-le-sang-froid-du-policier-antillais-salue-sur-le-net-361705.html

4 ) Tel qu'en lui-même, éternellement, l'insignifiant se fige.
4 ) Tel qu'en lui-même, éternellement, l'insignifiant se fige.

4 ) Tel qu'en lui-même, éternellement, l'insignifiant se fige.

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
L
Quand on pense à la fermeté des ordres venus du gouvernement contre les pacifiques veilleurs en prière sur les pelouses de Invalides, on mesure le degré d'immondicité des socialos et principalement de ceux qui dévoient l'honneur de gouverner la France. La réalité, c'est que les passerelles entre la rue de Solférino et les casseurs sont très solides. M. Cambadélis ne provient-il pas des mêmes marécages que les casseurs actuels ?
Répondre