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19 Septembre 2015
1 ) Frédérix Augustin, à gauche de son "protecteur" Elie Domota. 2 ) Elie Domota et sa copine Christiane Taubira. La justice aux mains des camarillas.
On se souvient de cette « affaire » autour d'une rixe entre deux personnes, M. Nicolas Chaulet et M. Frédéric Augustin ( voir par ce lien un rappel de ce qui s'en est suivi de regrettable autant que de dérisoire, en comparaison du reste de l'actualité, celle d'hier, comme celle d'aujourd'hui : http://www.lescrutateur.com/2015/03/guadeloupe-un-proces-en-sorcellerie-contre-n-chaulet-souleve-le-voile-sur-des-tenebres-effarantes-dieu-protegent-la-guadeloupe.html ).
On aurait pu croire qu'entre ces deux personnes antagonistes, les chaleurs du sang s'étant refroidies, on avait pris langue, plus froidement, et qu'entre soi, entre hommes, les yeux dans les yeux, virilement, on avait décidé de calmer le jeu, et de se séparer sur une bonne poignée de mains, aussi ferme que fraternelle.
Utopie, pure utopie, évidemment.
C'est que pour le malheur de tous, Augustine, à l'épiderme sombre, a été immédiatement pris en charge et instrumentalisé par la camarilla que l'on sait pour faire de son antagoniste d'un jour, à l'épiderme plus clair, Nicolas Chaulet, un épigone d'Ermänn Goering, un frénétique de la « solution finale », par un des extraordinaires renversements de rôles, auxquels nous ont accoutumé les terribles décennies du funeste XX ème siècle.
C'est chose faite, ou presque.
Cet article de la Pravda locale, France-Antilles, journal en pleine décrépitude, en marche vers le dépôt de bilan, et ne subsistant plus selon la rumeur publique que par l'appoint d'inavouables subventions quasi publiques, ou para-publiques donne le ton de ce mélange de frénésie et de dérisoire que l'on prétend imposer aux Guadeloupéens.
Cet article le voici dans toute la puanteur fétide et moite d'un Père Duchesne tropicalisé :
« Nicolas Chaulet comparaissait, vendredi, devant le tribunal correctionnel de Basse-Terre pour répondre d'injures racistes, menaces de mort, vol et dégradation de véhicule. Autant de faits qu'il conteste formellement. Raciste, lui ? Que nenni ! « La preuve, j'ai un beau-frère chabin que j'aime beaucoup et que je prends plaisir à embrasser », a-t-il tenté de glisser maladroitement en cours d'audience, sans percevoir qu'il venait de sidérer une bonne partie de l'assistance. Maladroit, ce natif de Haute-Savoie qui défend sa guadeloupéanité l'aura été tout au long d'une audience spéciale qui s'est poursuivie tard, vendredi. Au même titre, d'ailleurs, que ses trois avocats qui auront surtout réussi à provoquer un incident de séance dès le milieu de matinée en titillant un peu trop la victime, au goût de leurs confrères de la partie civile. Conséquence de cette passe d'arme durant laquelle ce dernier aurait fait figure « de prévenu » : une suspension de séance et quelques crispations autour d'un dossier emblématique pour la Guadeloupe.
UN PREVENU SIDÉRANT DE MALADRESSE
Certes, l'examen des faits qui a occupé le tribunal de Basse-Terre une matinée entière s'est surtout résumé à un échange d'accusations. L'un assurant avoir eu à subir une kyrielle de « sale nègre », l'autre jurant n'avoir répliqué, sans trop se souvenir de la teneur de ses propos, à des « sales blancs ». C'était sans compter sur l'arrivée massive, durant une bonne partie de la journée, de nombreux témoins de la scène. Des témoins qui ont précisé avoir vu, juste après l'incident, « des gendarmes arriver non pas pour interpeller Chaulet mais pour arrêter Frédéric Augustin », la victime. Des témoins, surtout, qui ont unanimement livré la même version des faits. Pour eux, aucun doute possible : le seul et unique responsable de l'altercation, c'est Chaulet.
Boris COLOMBET ».
Pris en main par la camarilla, Augustin ne pouvait qu'être blanchi de toute faute, et Chaulet voué aux gémonies.
Tout ce procès aurait pu n'apparaître que ce qu'il est : une fabrication idéologique, par un clan de séparatistes guadeloupéens, faisant du « racisme » l'engrais de leur haine pathologique pour la différence, le bain-marie de leurs obsessions infantiles.
Sans aucune pudeur, ni sens du ridicule, la coterie minable avait mobilisé 11 avocats, ( ONZE ! ) tous membres de la confrérie, pour transformer leur petite chicane en PROCES de NUREMBERG.
Oui, ils ont osé, surs de survivre à leur bouffonnerie en une époque où la justice en France a le visage de Christiane Taubira, sinistre de la "justice" et membre de la congrégation.
Le ministère public a requis contre Nicolas Chaulet UN mois ( et non un an comme l'a avancé France-Antilles, encore une fois approximatif ) DE PRISON FERME, et une amende de 1500 euros.
Rien que cela!
Si une telle réquisition devait être suivie d'effets, le ciel exsuderait des larmes de sang, et les pierres elles-mêmes hurleraient de douleur.
Edouard Boulogne.
PS / Sur facebook, un jeune, avec la candeur de son âge, commente, ( non le jugement, qui n'est pas encore rendu, mais les réquisitions du « procureur » ). Je lui répond ( et l'âge, avec l'expérience qu'il apporte, n'a pas que des inconvénients ) ). Voici ce dialogue.
La justice à rendu son verdict il faut l'accepter. C'est bizarre "la justice aux mains des camarillas" c'est mettre en doute l'indépendance de la justice. Les juges sont indépendants en France. Vous serez moins prolixe sur d'autres affaires (M BONNET d...Voir plus
Edouard Boulogne "Plaisante justice qu'un vent manie, et en tous sens". Blaise Pascal. Vous êtes bien naïf, cher Ory.
Edouard Boulogne D'autre part, Alceste dans le Misanthrope, quand il parle de cette justice qu'il a pour lui, évoque la vertu morale de justice, que bafoue un acte judiciaire ( "et je perds mon procès" ), qui bafoue le bon droit.
Ory Graig Non, je pense que les juges on bon dos!
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Ory Graig Il n'y a pas d'hommes vertueux!
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Edouard Boulogne Les pauvres! L'exemple que je vais prendre est, apparemment, fort éloigné du petit procès, qui n'est pas terminé, car le jugement n'est pas encore donné ( nous en sommes au stade des réquisitions ) . Cet exemp;e m'est inspiré par la récente diffusion sur des chaines de TV d'archives sur le procès du marécahl Pétain en 1945. Il fut jugé, et condamné ( et je ne suis pas pétiniste ) par les mêmes magistrats qui lui avaient prêté serment en 1940, et appliqués des directives non officielles, par exemple lors du fameux procès de RIOM.. Mais le garde des sceaux avaient changé, et les instructions aussi. "Palisante justice, qu'un vent manie, et en tous sens"! (Blaise..; ).
Edouard Boulogne Ory Graig Ah! il n'y a pas d'hommes vertueux"? Cela pourrait être discuté. mais....c'est un progrès. Je ne pense pas seulement à Pascal, mais plus humblement à Brassens dans la chanson du Gorille, à propos de ce jeune juge en bois brut. : https://www.youtube.com/watch?v=hB5Ctk9ENV4
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Ory Graig Illustration: Dans le cas des propos d’Alain Hugues Despointes : « Dans les familles métissées, les enfants sont de couleurs différentes, il n'y a pas d'harmonie. Moi, je ne trouve pas ça bien. Nous, on a voulu préserver la race. »
La justice avait raison de ne pas condamné Monsieur Hugues Despointes, la justice c’est montré indépendante !
Dans le cas de M Chaulet La justice aura raison de le condamné, la justice se montrera indépendante !
La justice est là pour le respect du droit.
« Quant au courage et à la justice, ils seront selon les cas au service du vertueux ou des autres, vertueux ou non. »
Edouard Boulogne Peu de gens ont approuvé M. Alain Huygus-Despointes, y compris dans son milieu social, et certainement pas Le Scrutateur. Et il a subi une condamnation. Celle-ci, il est vrai n'a pas été à la hauteur de ce qu'espéraient ces "bonnes âmes" de justicier quiauraient souhaité une lapidation en place publique.
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