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Le Scrutateur.

Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.

Le ministère de la Justice emploie plus de 40 000 personnes au noir ( et Taubira en est la tête ).

Cette oratrice effectue par son geste une sorte de lapsus, comme on dit dans le vocabulaire de la psychanlyse, ou mieux d'un acte manqué, c'est-à-dire d'un acte traduisant, chez son auteur une pensée inconsciente ( quoique...! ). Ici toutefois le drapeau ne convient pas. Bien que, avec ces genslà on ne puisse jurer de rien.

Cette oratrice effectue par son geste une sorte de lapsus, comme on dit dans le vocabulaire de la psychanlyse, ou mieux d'un acte manqué, c'est-à-dire d'un acte traduisant, chez son auteur une pensée inconsciente ( quoique...! ). Ici toutefois le drapeau ne convient pas. Bien que, avec ces genslà on ne puisse jurer de rien.

«  C'est par la tête que le poisson pourrit ». très ancien proverbe que le Scrutateur a choisi pour qualifier au mieux cet article sur la conduite illégale et scandaleuse d'un des plus importants ministères de la République ( comme ils disent ).


 

Le Scrutateur.

 

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Le gouvernement donne-t-il le mauvais exemple? Le ministère de la Justice est durement épinglé par un rapport d'inspection interministérielle pour l'emploi de 40 000 personnes non déclarées. La situation en cours de régularisation, assure mardi la chancellerie. Le rapport des inspections générales des Finances, des Services judiciaires et des Affaires sociales, cité par plusieurs médias, évalue à près de 50 000 le nombre de ces "collaborateurs occasionnels du service public" employés par différents ministères, dont "40 500 pour le seul ministère de la Justice". 

 

Ces employés sont interprètes, experts ou encore médiateurs, et travaillent sous le régime de "collaborateurs occasionels du service public" (COSP). Ils sont souvent amenés à intervenir quotidiennement et sont considérés comme des prestataires, rémunérés à l'heure: "le ministère de la Justice n'applique aucun assujettissement aux cotisations sociales et assimile les indemnités de ses collaborateurs à des prestations sans pour autant mettre en place les conditions de leur assujettissement à la TVA", selon le rapport, rendu à l'été 2014 et révélé par le Canard enchaîné à paraître mercredi. 

Un demi-milliard d'euros pour la collectivité en cas de poursuites judiciaires

Le document, qui souligne que cette pratique est très ancienne, estime qu'en cas de poursuites judiciaires collectives, le coût pour les finances publiques serait "de l'ordre d'un demi-milliard d'euros". Plusieurs plaintes individuelles ont déjà été déposées, notamment par des traducteurs-interprètes: "Ce sont des personnes qui travaillent exclusivement sur réquisition des autorités de police ou judiciaires. C'est 100% de leur activité professionnelle", affirme leur avocat Me David Dokhan au micro de la radio France Inter, précisant que ses clients n'avaient "pas de bulletin de salaire" et "aucune protection sociale". 

"La ministre (Christiane Taubira) a la volonté d'agir et de s'emparer du sujet", a assuré le porte-parole adjoint du ministère, précisant qu'"un plan d'action a été décidé", avec notamment le recrutement rapide de 45 interprètes. "Un décret est prévu pour début 2016 pour clarifier leur statut" et "il y aura un versement progressif des cotisations sociales", a-t-il expliqué. 

Une régularisation qui coûtera cher aux collaborateurs

Cette régularisation aura un coût élevé pour l'Etat, mais aussi pour ces collaborateurs, dont les salaires étaient majorés d'environ 30% en l'absence de tout prélèvement, relève le rapport, qui note un risque de "tarissement du recrutement de certaines personnes intervenant ponctuellement". 

Dans tous les cas, le rapport, cité par le Canard Enchaîné, rappelle que l'Etat est dans l'illégalité: "En fin de compte, on peut s'interroger sur la cohérence et l'image d'une justice qui, d'une part, s'accommode de pratiques clairement irrespectueuses de la loi, et d'autre part, sanctionne sans indulgence les manquements à la législation sur le travail".  


Read more at http://www.lexpress.fr/actualite/politique/l-etat-epingle-pour-50-000-d-emplois-au-noir_1711639.html#b3YQORllAiDuukml.99

 

 

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D
A vomir, quand on sait l'arrogance et la cruauté de ces mêmes voyous auprès du petit entrepreneur en difficulté. Ceci est une terrible démonstration de ce que c'est bien le régime en entier qu'il faut jeter à bas si nous voulons redevenir libres. Ce régime décadent est évidemment corrompu jusqu'au trognon et les hommes qui le parasitent sont, soit des pitres risibles mais profiteurs, soit des escrocs cyniques, soit carrément des traitres. Alors, s'il reste encore des gens honnêtes dans les tréfonds de cette république répugnante, qu'ils se démarquent de ces criminels ou prennent la tangente pendant qu'il en est encore temps, car le temps des comptes à rendre à la nation est maintenant arrivé.
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A
Espérons qu'il n'y a aucune connotation raciste dans cette affaire de "travail au noir" comme me laisse penser ce titre ambigu. En tout cas, quand c'est un particulier qui fait pareille fraude, non seulement c'est à une infiniment moindre échelle, mais il ne se trouve personne pour le blanchir. Tandis que Taubira, tous ses comparses de la soi-disant République et des media l'ont absoute. Il faut dire qu'en termes de responsabilité, l'histoire choisit d'abord et désigne ensuite. La fable dès Animaux malades de la pesye ne nous dit-elle pas : de l'ours ou du tigre, on n'osa approfondir la moindre offense ? Relisons donc les fables de l'ami La Fontaine. Tout y est. Y compris la logique migratoire dont l'issue est prévisible. Comme dans "La Lice et sa compagne". Lisez donc, vous dis-je. Et puis lisez aussi "Le camp des saints", ainsi que "La ferme des animaux", pour revenir à notre propos initial et à l'exemplarité de nos grands responsables de l'exécutif et à leurs ppissons pilotes des media.
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