Un autoportrait charge de François Pays-Bas.
Parmi les nombreux sens attribués en français au mot « charge » se présente celui-ci :
Genre littéraire ou artistique caractérisé par l'outrance. |
Pour exemple j'ai choisi ce discours de M. François Pays-Bas, curieusement peu diffusé, ou repris, par la « grande presse », datant pourtant de l'année 2012, comme un autre, ou l'on retrouve les mêmes tics rhétoriques, vous savez l'emploi et l'abus de l'artifice rhétorique communément appelé « anaphore » ( vous savez : « moi Président, Moi Président, etc, etc, etc, etc, etc....!!!! » ).
Le discours de M. Pays-Bas, le deuxième, celui que vous allez entendre, reprend le procédé ad nauseam. Il a la particularité d'être un autoportrait.
On avait à l'époque, du moins les auditeurs attentifs, trouvé que nosthromme y allait un peu fort, que ses projets seraient irréalisables, et l'on se perdait en conjectures sur les motifs d'une telle énumération d'inepties.
Et pourtant, François s'est mis à l'oeuvre, avec constance, ce qui n'est pas son fort dans maints autres domaines, demandez à Ségo, ou à Valoches, et à quelques autres.
Simplement la réalité s'est montrée moins facile à manipuler qu'il n'avait cru. Et il faudra attendre encore un peu la réalisation entière de cette débâcle quasi intestinale
Sur les motifs, certains préfèrent parler de mobiles, l'un des principaux serait deux caractéristiques de l'Islam qui ont particulièrement fasciné François, l'alliance à la fois d'une misogynie certaine à une polygamie institutionnelle.
Quoiqu'il en soit le train est lancé, et les dégâts ( selon, évidemment, folliculaires dixerunt, une bande de fieffés « réactionnaires », « d'extrême droite », « racistes », « islamophobes », etc, etc, etc, etc, etc, etc, etc ….! ) sont perceptibles et, selon François Pays-Bas...perfectibles.
Le Scrutateur.
( Malgré la gravité de la chose, j'ai cru devoir faire figurer cet article sous la rubrique FORIGOLER ).