La mort de Bilal.

Rien de neuf, dans la case : le déni atteint son paroxysme, tandis que la provocation est à son comble. Éric Zemmour est considéré comme un malfaiteur, tandis que les malfaisants sont honorés comme des dieux dont les mystères échappent au commun des mortels. C'est terrible de devoir retenir sa langue au point de ne pouvoir résumer par certains mots à la fois courts et éloquents les caractéristiques de ceux qui coulent scientifiquement la France tout en nous écrasant de leur supériorité et - surtout - de leur intelligence (si l'on peut dire) aussi bien sur le terrain économique que social. Mitterrand doit rôtir en enfer, car sa responsabilité dans la déliquescence de la France est d'autant plus écrasante qu'à l'inverse de ses disciples et successeurs, il savait parfaitement ce qu'il faisait, lui.