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19 Juin 2014
Chers socialos, toujours aussi menteurs ! Et chers Français - UMP compris -, toujours aussi cons d'avoir fait de l'imposture socialiste la référence en toutes choses, et le bouquet de critères sur lesquels doit s'aligner la pensée (unique, bien entendu).
Lorsque mai 1968 arriva, François-le-fécal se dit "Je suis sauvé". Le souvenir du faux attentat de l'Observatoire lui parut alors celui d'une démarche aussi ridicule que dérisoire. ( Sur le faux attenta de l'Observatoire, voir : http://fr.wikipedia.org/wiki/Attentat_de_l'Observatoire ) Cette fois, devant lui, s'ouvrait un boulevard ! Il comprit très vite - après qu'il eût maladroitement tenté de se garer au milieu de la chaussée - qu'il lui suffirait de faire la circulation : les troupes étaient là, dans cette
moisson de petites frappes issues de l'université et de ces écoles qui destinent au service de l'État. Il ne lui resterait plus qu'à engendrer une "génération Mitterrand", c'est-à-dire une engeance sans foi ni loi dont le matérialisme forcené fusionnerait sans heurts avec le capital (surtout avec le grand) pour assurer aux uns et aux autres une immense fortune ainsi qu'une fortune immense, à condition qu'ils fussent résolus à perdre leur âme pour gagner l'univers.
Depuis, partout où passent les socialos, leurs poches se remplissent, tandis que les caisses publiques se vident et que les pompes fiscales se mettent aussitôt en route.
LS.
Le gros mensonge d’Anne Hidalgo n’aura pas résisté longtemps à l’épreuve de la réalité. Quelques semaines après son élection, la nouvelle maire de Paris a été contrainte de reconnaitre publiquement ce qu’elle niait farouchement depuis des mois : la situation financière de la capitale que Bertrand Delanoë lui a laissée en héritage est absolument désastreuse. Selon ses propres aveux, il manquera 400 millions d’euros l’an prochain pour boucler le budget de la ville, un trou colossal comme jamais Paris n’en avait enregistré dans son histoire. Pour donner le change, Julien Bargeton, l’adjoint aux finances a fait mine de découvrir avec stupéfaction cette mauvaise nouvelle, que Capital avait dévoilé dès mars dernier.
Lire aussi : Le plan secret d’Anne Hidalgo pour faire valser les impôts à Paris
Autant dire, que, comme nous l’avions prédit sous les quolibets de la candidate et sur notre réponse publiée sur le site , l’héritière de Bertrand Delanoë va devoir faire valser de toute urgence les impôts des Parisiens, au mépris de ses promesses. De combien au juste ? Une simple règle de trois permet de se faire une idée du coup de massue qui attend les contribuables de la capitale : 400 millions d’euros, cela représente en moyenne 285 euros par foyer fiscal, ou si l’on préfère l’équivalent des deux tiers du produit annuel de la taxe d’habitation versé à la ville. La première magistrate n’a cependant pas encore osé dévoiler ce traitement de choc à ses administrés : elle jure pouvoir régler le problème en louant à l’Etat les locaux et les 130 hectares de terrains (par exemple le zoo de Vincennes) que la municipalité met aujourd’hui gracieusement à sa disposition.
Simple illusion ! Même en mettant les choses au mieux, ces recettes de poches n’atteindront tout au plus que quelques millions d’euros par an, autant dire une goutte d’eau dans le gouffre parisien. Pour boucher le trou laissé par son prédécesseur ...
Photographies :
( 1 ) François, dit "le fécal. ( dessin paru dans Guadeloupe 2000, en 1974 ).
( 2 ) L'autre François, dit le Gros lard.
( 3 ) L'Hidalgo, dite la pompe à sous.