Associations antiracistes : Pourquoi les plus patients en ont marre !
A-t-on encore le droit en France de rire, de sourire, de caricaturer, même en privé, de certaines minorités, arbitrairement désignées comme faisant partie des « damnés de la terre », souvent par elles mêmes, parfois par des aigrefins de la politique et des moeurs, pour soumettre à leurs caprices et intérêts, très matériels, mais au nom des droits de l'homme, toutes autorités politiques et morales. (Toutes? Enfin, presque toutes! ).
Il y aurait en France des minorités ethniques, sexuelles, etc, gravement méprisées, agressées, persécutées par la majorité du peuple français, disons, pour faire court – et vrai – par les blancs de France.
Soyons clair, ma sensibilité personnelle ne m'a jamais poussé à me moquer de mon prochain, noir, blanc, métis ou jaune, ni de parodier, pour faire rire, la démarche des boiteux et des éclopés, ni de prendre dans le collimateur de mon ironie des homosexuels ou, comme on disait, des « pédés ».
Peut-être par un trait de mon idiosyncrasie personnelle, mais je crois, aussi et surtout du fait de l'éducation que j'aie reçue dans ma famille, et par ma religion.
Mais je n'ai jamais détesté non plus sourire ou rire, même « à gorge déployée » selon la curieuse expression consacrée . Tant du moins que ce rire était canalisé par les règles d'une rhétorique humaniste, et pouvait, dès lors servir, et à me soulager d'humeurs dont il ne fallait pas trop contrarier l'expression pour mon équilibre psychologique, et, d'autre part, comme on le voit par le théâtre comique, d'un Molière par exemple, servir selon des règles, à corriger les moeurs, et les excès, par le rire, et l'humour. «Castigat ridendo mores », corriger les moeurs par le rire.
Actuellement, les aigrefins de la morale, les hypocrites subventionnés, les racleurs de gratelles, et autres professionnels de l'embrouille, ont entrepris à des fins dont beaucoup de monde commence à percevoir les émanations fétides, de juguler le rire en France.
Peut-on rire de tout en France se demandaient, l'autre semaine sur Guadeloupe première quelques personnes que l'on veut croire de bonne volonté, dans une émission paradoxalement assez tristounette sur un pareil sujet.
Apparemment non, si l'on en juge par l'activité inlassable et sûrement juteuse, de certains parangons de vertu, dont on serait en droit d'attendre ( mais à l'impossible, n'est-ce pas....! ) qu'il s'appliquent à eux-mêmes les principes qu'ils exigent des autres.
Au point qu'on peut se demander si le film de Molinaro, La cage aux folles, serait aujourd'hui autorisé à la diffusion, et même à la conception, pour ne pas atteindre à la dignité des personnes homosexuelles. ( http://www.youtube.com/watch?v=J-2ZNICMB0s ).
Aussi, si les antillais qui caricaturent le comportement des africains, leurs accents, etc , ne justifieraient pas tous du tribunal correctionnel.
L'actualité est truffée des actes du terrorisme intellectuel ( si l'on peut dire ) de nos Trissotins de la moraline germanopratine, nos Tartufe de la basse cour pépiante, où des Louis-Georges Tin et des Claudy Siar donnent leurs concerts sonnants et trébuchants.
Voici donc des policiers, qui, hors de leurs heures de service, décident de participer à une soirée « noire » ( où l'on chambrera, plus ou moins gentiment, des hommes et des femmes noires ). On peut regretter le choix du thème, mais enfin dans le temps que nous vivons, il y a de pires crimes.
Et voici ( voir l'article ci-dessous ) que M. Claudy Siar, monte une cabale, assisté de Louis-Georges Tin, et de quelques valets de comédie, pour faire pépier les professionnels de l'indignation morale, et, parmi les blancs, les professionnels du larmoiement et de l'auto-flagellation.
Je crois, chers amis lecteurs, que ces pantalonnades grotesques atteignent au comble du ridicule, et surtout à l'inverse de ce à quoi elles prétendent.
Les Français, et pas seulement les blancs, commencent à en avoir marre de ces pitreries qui pourrissent la vie quotidienne, si, jusqu'à présent elles ont servi à enrichir les pitres de la moraline.
Que seraient un Tin, ou un Siar sans les prétextes qui les propulsent sur les petits écrans et justifient ( ? ) l'existence des associations : le CRAN, SOS-Racisme, etc, etc, et les subventions juteuses, prises dans l'argent public, notre argent, l'argent de nos impôts, dont ils vivent et se nourrissent?
Lecteurs, après l'article du Figaro consacré à la petite fête privée ( peut-être pas très fine, mais chacun fait comme il peut. Tout le monde n'est pas Star ) de nos policiers, vous trouverez quelques liens que j'ai recherchés pour vous.
Ils sont très clairs, quoique peu connus, et montrent que le racisme n'est pas toujours là où on nous le dit. Que des Français de toutes origines, y compris de la fameuse « diversité » , mais honnêtes et bien dans leurs baskets, voient clair, et le disent. Ils sont tout prêts à agir pour corriger les mauvais plaisants.
Oui, le monde et les temps commencent à changer.
Le Scrutateur
L'article du Figaro : https://fr.news.yahoo.com/soir%C3%A9e-policiers-d%C3%A9guis%C3%A9s-noirs-fait-d%C3%A9sordre-091115732.html
Dossier sur un racisme bien camouflé :
Témoignage d'un musulman : http://www.youtube.com/watch?v=Kd37GTrZe5o
Témoignage du jeune Sébastien : http://www.youtube.com/watch?v=aLdc0DXc7TA
Témoignage d'Omar Djellil : http://www.youtube.com/watch?v=aLdc0DXc7TA
La complainte d'une victime du racisme dans le métro : http://www.youtube.com/watch?v=T1hLMWtGhq4