Blog destiné à commenter l'actualité, politique, économique, culturelle, sportive, etc, dans un esprit de critique philosophique, d'esprit chrétien et français.La collaboration des lecteurs est souhaitée, de même que la courtoisie, et l'esprit de tolérance.
13 Mars 2014
Voici à qui François Hollande a livré les enfants de France. LS.
Qui est réellement ce Vincent PEILLON ?
Né le 7 juillet 1960 à Suresnes (Hauts-de-Seine). Issu, d'une famille juive Alsacienne, sa mère Françoise Blum fut enseignante. Son père Gilles PEILLON (1928-2007) communiste notoire et banquier de son état, fut directeur général de la première banque soviétique hors URSS, la "Banque Commerciale pour l' Europe du Nord" (Eurobank) qui finançait le parti communiste Français. Vous imaginez qu'on ne nomme pas un enfant de chœur à une telle place. Son père a donc cautionné sans états d'âme, la répression et les 100 millions de morts causées par la pandémie communiste dans le monde, la guerre froide, la répression en 1953 de la révolte des Allemands de la RDA, l'invasion de la Hongrie en 1956 et de la Tchécoslovaquie en 1968 et leur cortège d'horreurs.
Mais les amis algériens de Gilles PEILLON le nommèrent directeur de la banque franco-algérienne "L'Union Méditerranéenne de Banque". Il fut ainsi récompensé d'avoir, comme tous les communistes français, soutenu la rébellion et l'indépendance de l'Algérie, pays frère de l'URSS. Il est mort en 2007 entouré de la considération de tous... Vincent PEILLON, élevé aux mamelles du marxisme-léninisme, est parfaitement formé aux idées et aux méthodes. Il a su les mettre en pratique, comme ses collègues, les AYRAULT, CAHUZAC et Cie...
Pour avoir une idée de ses talents et impostures, nous nous bornerons à citer l'article d'un agrégé, authentique celui-la, qui nous parle de son parcours : << Je suis étonné de voir absents du débat les éléments de carrière de Mr Peillon, notre bon ministre, qui sont pourtant bien instructifs à son égard (NB : j'ai sans doute manqué le début des débats). C'est curieux, mais il me semble aussi que la presse n'a pas toujours été aussi indulgente à l'égard d'autres hommes politiques... Chaque année de nombreux échelons sont ainsi franchis par "attribution" lors de commissions paritaires ou "sur demande d'un inspecteur" ou après un entretien oral ou un passage devant une classe seulement ! Il a donc le titre, l'échelon administratif, la rémunération et tous les avantages correspondant à cet échelon.
Démasquons cet escroc partout où nous le pourrons. Alain Pommellet,
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Voici à qui François Hollande a livré les enfants de France. LS.
Qui est réellement ce Vincent PEILLON ?
Né le 7 juillet 1960 à Suresnes (Hauts-de-Seine). Issu, d'une famille juive Alsacienne, sa mère Françoise Blum fut enseignante. Son père Gilles PEILLON (1928-2007) communiste notoire et banquier de son état, fut directeur général de la première banque soviétique hors URSS, la "Banque Commerciale pour l' Europe du Nord" (Eurobank) qui finançait le parti communiste Français. Vous imaginez qu'on ne nomme pas un enfant de chœur à une telle place. Son père a donc cautionné sans états d'âme, la répression et les 100 millions de morts causées par la pandémie communiste dans le monde, la guerre froide, la répression en 1953 de la révolte des Allemands de la RDA, l'invasion de la Hongrie en 1956 et de la Tchécoslovaquie en 1968 et leur cortège d'horreurs.
Mais les amis algériens de Gilles PEILLON le nommèrent directeur de la banque franco-algérienne "L'Union Méditerranéenne de Banque". Il fut ainsi récompensé d'avoir, comme tous les communistes français, soutenu la rébellion et l'indépendance de l'Algérie, pays frère de l'URSS. Il est mort en 2007 entouré de la considération de tous... Vincent PEILLON, élevé aux mamelles du marxisme-léninisme, est parfaitement formé aux idées et aux méthodes. Il a su les mettre en pratique, comme ses collègues, les AYRAULT, CAHUZAC et Cie...
Pour avoir une idée de ses talents et impostures, nous nous bornerons à citer l'article d'un agrégé, authentique celui-la, qui nous parle de son parcours : << Je suis étonné de voir absents du débat les éléments de carrière de Mr Peillon, notre bon ministre, qui sont pourtant bien instructifs à son égard (NB : j'ai sans doute manqué le début des débats). C'est curieux, mais il me semble aussi que la presse n'a pas toujours été aussi indulgente à l'égard d'autres hommes politiques... Chaque année de nombreux échelons sont ainsi franchis par "attribution" lors de commissions paritaires ou "sur demande d'un inspecteur" ou après un entretien oral ou un passage devant une classe seulement ! Il a donc le titre, l'échelon administratif, la rémunération et tous les avantages correspondant à cet échelon.
Démasquons cet escroc partout où nous le pourrons. Alain Pommellet,
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